Skip to main content

P001 | Fonds Armand Auclaire

By 10/04/2019mai 9th, 2019No Comments

Fonds Armand Auclaire P001 [19-] : [entre 1870 et 1897]. – Env. 25 cm de documents textuels et autres documents. Notice biographique : Monsieur Armand Auclaire est né à Chambly en 1911, il est le fils d’Irénée Auclaire et de Lucia Racicot. En 1923, il fait un cours classique de deux ans au collège Sainte-Marie à Montréal. Par la suite, à la fin de son cours classique en 1925, il entre au collège Saint-Césaire où durant quatre années il suit un cours commercial. À la fin de ses études, en 1929, il travaille au magasin général de son père rue Bourgogne à Chambly. En 1931, il entre chez Salada Tea Co comme commis de bureau. Parallèlement à son travail, il perfectionne sa formation en suivant des cours en littérature française à l’Université de Montréal et des cours en administration au collège O’Sullivan. En 1932, il prend part à une expédition dans l’Arctique à bord du navire N.B. McLean. Son expérience est publiée dans le journal La Patrie où il raconte le récit qu’il fait de ce voyage. Ce voyage de quatre mois dans la région du détroit d’Hudson avait comme objectif l’étude des « moeurs Esquimaux ». À son retour en 1932, monsieur Auclaire entre au service de la Bennett Limited où il restera jusqu’en 1971. Durant ses années de service, il occupe plusieurs postes allant de commis au département des ventes pour terminer vice-président au marketing.Tout en poursuivant sa carrière, monsieur Armand Auclaire devient maire de Chambly-Canton de 1945 à 1951. De plus, il est préfet du comté de Chambly, président de la Shoe Industry Suppliers Association of Canada, président de La Corporation des Syndics de la Paroisse de Très-Saint-Coeur de Marie de Chambly et administrateur pour Le Groupe Commerce. Il est également membre de la Société Historique de Montréal, de la Société de Généalogie Canadienne-Française et la Société Historique de la Vallée du Richelieu. Le témoignage des ses documents nous confirme sa très grande passion pour l’histoire. Il s’intéresse davantage à l’histoire de Chambly et à celle de son fort. Ses connaissances lui permettent la rédaction de textes historiques qu’il publie avec la collaboration des sociétés d’histoire. Au cours de son mandat comme maire, en 1949, il a l’occasion d’organiser les fêtes du centenaire de l’incorporation municipale de Chambly-Canton et du 284e anniversaire de l’érection du fort de Chambly. Monsieur Armand Auclaire est certes une personne qui s’est impliquée au sein de sa communauté et lui laisse en héritage la mémoire de ses archives. Monsieur Armand Auclaire est décédé le 30 juillet 1990 à l’âge de soixante-dix-huit ans.Historique de la conservation : Les documents de ce fonds ont été créés et reçus par le créateur et donnés par dons successifs à la Société d’histoire de la seigneurie de Chambly. Les documents ont été déposés sur une période de 6 ans d’après des lettres datées de 1980 a 1985. Toujours selon les lettres, il a offert des photographies, des cartes, des plans, des documents, des coupures de journaux, des livres et des objets. Il aurait offert les premières photographies reçues par la Société d’histoire de la seigneurie de Chambly. Les documents traités dans ce fonds ont été remis par Bernadette Laflamme qui conservait ces documents chez elle au sous-sol. Il est difficile de savoir si ces documents ont déjà fait objet de traitement ou s’il y a eu confusion avec les documents concernant la collection Origène Auclaire. Par contre, le classement de monsieur Armand Auclaire a été conservé et respecté. En septembre 1998, l’archiviste Dominic Arès a traité une partie du fonds, soit une partie des archives iconographiques.Portée et contenu : Le fonds témoigne de l’implication de monsieur Armand Auclaire à Chambly au cours du XXe siècle. De plus, il nous informe du très grand intérêt que cet homme avait pour l’histoire et plus particulièrement pour l’histoire de Chambly. Le fonds est composé de 63 dossiers que monsieur Armand Auclaire avait lui-même classés. On retrouve de l’information entre autres sur le centenaire de l’incorporation municipale de Chambly-Canton et sur le 284e anniversaire du fort en septembre 1949. On retrace aussi de l’information sur une injonction contre Chambly-Canton, la fusion entre Chambly-Bassin et Fort-Chambly, la centrale hydro-électrique de Chambly, le débat sur la rue Irénée Auclaire, une action entreprise contre les échevins Paul Saint-Onge et Roland Daoust par le maire Armand Auclaire au sujet de La Commune de Chambly, le tricentenaire de Chambly en 1964, Joseph-Octave Dion, voyage dans le détroit d’Hudson sur le McLean. On retrouve également, de la correspondance avec Gérard Malchelosse, historien, Lionel Groulx, prêtre, Jean Drapeau, maire de Montréal, Louis Saint-Laurent, premier ministre du Canada, Maurice Duplessis, premier ministre du Québec et bien d’autres. De plus, le fonds contient 2 plans du fort de Chambly, 2 plans de Chambly, des documents manuscrits, des textes écrits par Armand Auclaire sur l’histoire de Chambly, trois textes manuscrit d’Irénée Auclaire datant de 1885 et 1886, le diplôme d’Irénée Auclaire en 1880 de l’École Modèle, des lettres de discours prononcés à différentes occasions, des coupures de journaux, des photographies dont quatre sur plaque de cuivre, une série de documents du XIXe siècle sur l’instruction et sur le village de Chambly-Canton, des documents sur Emma Albani, le chant patriotique, Le Fort de Chambly, paroles de Benjamin Sulte, un film en format 16mm du Centenaire de l’incorporation municipale de Chambly-Canton, un livre d’Eugène Lapierre dédicacé à Armand Auclair, etc.Source du titre composé propre : Titre basé sur le créateur du fonds.Collation : Le fonds contient aussi 306 photographies noir et blanc(48cm x 60cm, ou plus petit), 5 plans, 2 cartes, 2 dessins, 1 film 16mm. et 179 négatifs n&b, plaques de verre et pellicule.Particularités matérielles : Deux dossiers contiennent des documents du XIXe siècle dont l’état est fragile, il est donc recommandé de les consulter avec le plus grand soin.Source immédiate d’acquisition : Acquis de monsieur Armand Auclaire entre 1980 et 1985. Déposé au centre d’archives par madame Bernadette Laflamme au mois d’août 2005.Classement : Le classement original de ces dossiers a été conservé tel que monsieur Armand Auclaire l’avait créé.Langue des documents : Le fonds comprend des documents textuels en anglais.Emplacement des originaux : Les coupures de journaux concernant Chambly ont été photocopiées en septembre 2005. Toutes les autres coupures de journaux, dont les sujets étaient autres, ont été éliminées dû à leur état de dégradation et compte tenu que nous pouvons retrouver cette information a la Bibliothèque nationale du Québec.Note générale : La notice biographique est basée à partir du curriculum vitae de monsieur Armand Auclaire et du livre Dictionnaire encyclopédique de la seigneurie de Chambly 1909-1950, Société d’histoire de la seigneurie de Chambly, 2001, p. 6. Et pour terminer, les documents du fonds lui-même ont été utilisés comme source bibliographique.Un CD de consultation (numéro 2) qui contient les photographies numérisées est disponible dans la boîte V-18 de la voûte de la SHSC.Fonds a été traité et décrit en septembre 2005 par l’archiviste Lisette Desjardins.Liste sommaire des documents éliminés- Album photographique qui contenait des coupures de journaux.- Deux petites brochures sur la toponymie de Montréal et l’autre sur une confiserie fine au Nouveau-Brunswick.- Un cahier du service d’urbanisme de la ville de Montréal, juin 1966.- Une chemise promotionnelle de Expo 67.- Un vieil album photographique en tissus.- Une petite brochure sur l’évolution de Montréal.- Des coupures de journaux dans les années, 1940, 1950, 1960, 1970 et 1980 :La PressePerspectives, La PresseLa PatrieLe Magazine MacleanMiroir du Québec (Photocopié)L’Opinion publique de 1874The GazetteLe DevoirL’Obsservatore RomanoL’Obsservatore della DomenicaThe Montreal StarLe Journal de ChamblyLe Citoyen (Photocopié)Le Monde Illustré 1896 (Photocopié)Une copie du journal La Presse du 6 août 1898Ce que les anciens racontentThe Standard. May 27, 1939La Presse du 8 mai 1937La Presse du 1er juin 1935Le journal du Vieux Montréal- 12 dossiers sur le thème Canada histoire contenant des coupures de journaux de 1967 du journalLa Presse, Le calendrier des pionniers.- Un dossier sur la Société historique de Montréal.- Un dossier sur la Baie d’Hudson.Localisation : C-2-2 et C-2-2 ALes photos sont conservées dans la voûte de la mairie de Chambly.CD de consultation boite V-18.P001,S1CANAL DE CHAMBLY. – 1880? et 1890?. – 6 photographies noir et blanc; 8cm x 13cm, 20cm x 25cm, 28cm x 36cm. – 7 négatifs n&b, sur pellicule et plaque de verre.Portée et contenu : Cette série comprend des prises de vue du canal de Chambly en 1880 et en 1895. On remarque le pont à tirette no 1, une équipe travaillant à la réparation de l’écluse no 1, un bateau, un remorqueur et des péniches.N.001.40.0038.jpg : Vue du canal de Chambly à la hauteur de pont permettant à la route de Saint-Jean de le traverser au rang Sainte-Thérèse de Carignan, 1895. (carte postale) (même : N.002.86.0038, P.102.20.0038, P.113.11.0707).N.001.40.0038.JPG : No 1057 – Vue du canal de Chambly. N.003.03.0036.jpg : Réparations à l’écluse no 1 du canal de Chambly, inauguré en 1843. On remarquera les péniches chargées de pitoune. À droite du quai, le plus grand bateau était l’un de ceux qui assuraient le transport des voyageurs et de la marchandise jusqu’à Montréal ; l’autre (le plus petit), le remorqueur qui hâlait les péniches entre Sorel et Chambly et vice versa, vers 1895. (négatif de verre) (même : N.003.03.0036, N.002.39.0036, P.102.16.0036, P.513.0036)N.003.03.0036.JPG : Écluse no 1 du canal de Chambly, vers 1895. N.003.04.0037.jpg : Le pont à tirette no 1 du canal à Chambly vers 1880. À remarquer que ce pont, aussi bien que les autres ponts du canal à l’époque, n’était ni un pont tournant, ni un pont levis, mais un pont qu’un système d’engrenages faisait reculer ou avancer sur rails situés sous la partie gauche du pont. De lourdes pièces de métal, fixées sous l’extrémité gauche du pont servaient de contrepoids. (négatif de verre) (même : N.002.36.0037, N.003.04.0037, P.102.18.0037)N.003.04.0037.JPG : Le pont à tirette no 1 du canal à Chambly vers 1880. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.39.0036, N.003.03.0036, N.003.09.0036, N.002.36.0037N.003.04.0037, N.001.40.0038, N.002.86.0038P.102.16.0036, P.102.18.0037, P.102.20.0038P.513.-.0036, P.511.-.0038, P.513.-.0038Voûte de la mairie de Chambly.P001,S2CÉLÉBRATION : 100e ANNIVERSAIRE DE CHAMBLY-CANTON. – 1949. – 32 photographies noir et blanc; 10cm x 15cm, 20cm x 25cm. – 2 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série est composée de documents photographiques qui ont trait principalement aux diverses manifestations entourant le centenaire de Chambly-Canton en 1949. Elle est composée de sept dossiers, soit : dignitaires, chars allégoriques, combat simulé, cérémonies religieuses, fanfare, choeur de chant et foule au parc de la commune.Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.P001,S2,D1DIGNITAIRES. – 1949. – 12 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm. – 2 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier est formé de clichés dans lesquels on aperçoit des invités de marque à l’occasion des célébrations entourant le centenaire de Chambly-Canton. On remarque, entre autres, le chevalier Albion Jetté, Sylvio Laporte, curé de la paroisse Saint-Joseph, Paul Beaulieu, ministre de l’Industrie et du Commerce, Mgr Atanase Forget, évêque de Saint-Jean-sur-Richelieu, le général R.O.G Morton, commandant des forces armées pour l’est du Canada, Armand Auclaire, maire de Chambly-Canton, Édouard Rinfret, ministre des Postes, Paul Pratt, maire de Longueuil, Élie Beauregard, président du sénat, Roch Pinard, secrétaire d’état et député de Chambly à Québec, Joseph Laramée, maire de Boucherville, le lieutenant Jacques Lachapelle, surintendant du canal de Chambly, Charles Boyer et Phillippe Martin, respectivement curé et vicaire de Chambly-Canton, Mgr Beaudry, aumônier général des Forces armées canadiennes, Léo Lareau, maire de Chambly-Bassin, Charles J. Prescott, président de Bennett Limited, et le major Berthiaume, commandant du Collège militaire de Saint-Jean-sur-Richelieu.P.103.36.0074.jpg : Centenaire de Chambly-Canton. En 1959, Chambly-Canton célébrait le centenaire de son incorporation municipale et le 284e anniversaire de la construction du fort. Les fêtes se tinrent les 3, 4 et 5 septembre et eurent un succès retentissant. À l’issue de la messe pontificale, célébrée à l’intérieur du fort, les invités d’honneur se réunirent sur le porche du Fresh Air Fund où ils reçurent le salut des troupes. De gauche à droite : le chevalier Albion Jetté, de Chambly, l’abbé Sylvio Laporte, curé de Saint-Joseph, l’honorable Paul Beaulieu, ministre de l’industrie et du commerce, représentant l’honorable Maurice Duplessis, premier ministre de la province de Québec, S.E. Mgr Anastase Forget, évêque de Saint-Jean, le général R.O.G. Morton, commandant des forces armées pour l’est du Canada, Armand Auclaire, maire de Chambly-Canton, instigateur des fêtes, l’honorable Édouard Rinfret, ministre des postes et représentant l’honorable Louis Saint-Laurent, premier ministre du Canada, derrière M. Rinfret, M. Paul Pratt, maire de Longueuil, l’honorable Élie Beauregard, président du sénat, l’honorable Roch Pinard secrétaire d’état, député de Chambly aux Communes, le colonel Redmond Roche, député de Chambly à l’assemblée nationale, plus tard élevé à la magistrature, Joseph Laramée, maire de Boucherville, le lieutenant Jacques Lachapelle surintendant du canal de Chambly er organisateur-en-chef des fêtes. (A. Auclaire) (même : N.002.92.0074, N.003.10.0074, P.511.0074).P.103.36.0074.JPG : Centenaire de Chambly-Canton. P.105.01.0129.jpg : de gauche à droite : Chevalier Albion Jetté, Georges Tanguay, Charles Boyer, curé de Très-Saint-Coeur de Marie de Chambly, Mgr Anastase Forget, évêque de Saint-Jean, Sylvio Laporte, curé de Saint-Joseph-de-Chambly, Général Morton, commandant des Forces Armées pour l’Est du Canada, son aide de camps, abbé Philippe Martin, vicaire à T.S.C. de Marie.P.105.01.0129.JPG : Centenaire de Chambly-Canton. P.105.01.0130.jpg : Invités à la messe du centanaire dans la cour intérieure du fort. De gauche à droite : Mme Nadeau, Jean-Marie Nadeau, Mme Pratt, Paul Pratt, maire de Longueuil, Armand Auclaire, Mme Auclaire, Édouard Rinfret, ministre des Postes, Mme Roch Pinard, secrétaire d’État, 1949. P.105.01.0130.JPG : Invités à la messe du centanaire dans la cour intérieure du fort. P.105.01.0131.jpg : Messe célébrée dans la cour du fort. Deuxième rangée : M et Mme Léo Lareau, maire de Chambly-Bassin, 1949.P.105.01.0131.JPG : Messe célébrée dans la cour du fort. P.105.02.0133.jpg : De droite à gauche : J. Redmond Roche, député de Chambly, Mme Roche, Paul Beaulieu, ministre du travail, l’honorable Élie Beauregard, président du Sénat, l’honorable Roch Pinard, secrétaire d’État, Mme Pinard, Édouard Rinfret, ministre des Postes, Mme Béatrice Auclaire, Armand Auclaire, maire de Chambly-Canton, 1949. P.105.02.0133.JPG : Centenaire de Chambly-Canton. P.105.09.0164.jpg : Centenaire de l’incorporation municipale de Chambly-Canton, sept. 1949. Gauche à droite : Mgr Charles Beaudry, chapelain-en-chef des Forces armées canadiennes, major-général R.O.G. Morton, commandant de la division Est de l’armée, Hon. Edward Rinfret, ministre des Postes, M. et Mme. EAS Cooke, propriétaire du manoir de Salaberry et hôtes de la réception à leur demeure, Mgr Anastase Forget, évêque de Saint-Jean, Chevalier Albion Jetté, Armand Auclaire, maire de Chambly-Canton, 1949.P.105.09.0164.JPG : Centenaire de l’incorporation municipale de Chambly-Canton. P.105.10.0165.jpg : Réception offerte par monsieur et madame Cook dans la maison de Salaberry, rue Richelieu à l’occasion du 100e anniversaire de Chambly-Canton. De gauche à droite, Albion Jetté, chevalier ; Mgr Anastase Fortget, évêque de Saint-Jean; Paul Pratt, maire de Longueuil; l’honorable Paul Beaulieu, ministre du travail (assemblée législative),1949.P.105.10.0165.JPG : Réception offerte par monsieur et madame Cook. P.105.10.0166.jpg : Dignitaires réunis pour les fêtes du 100e anniversaire de Chambly-Canton, devant le Fresh Air Home maintenant disparu. De gauche à droite, Charles Boyer, curé de Chambly-Canton; Gérard Charbonneau, architecte de l’église de Chambly-Canton; Mgr Anastase Forget, évêque de Saint-Jean; Lucien Vadeboncoeur, constructeur de l’église de Chambly-Canton; Armand Auclaire, maire de Chambly-Canton, 1949.P.105.10.0166.JPG : Dignitaires réunis pour les fêtes du 100e anniversaire de Chambly-Canton. P.105.10.0167.jpg : Réception à la demeure E.S, Cook (maison Salaberry) offerte aux dignitaires présents lors des fêtes du 100e anniversaire de l’incorporation municipale de Chambly-Canton, 1949. P.105.10.0167.JPG : Réception à la demeure E.S, Cook. P.104.74.1084.jpg : Centenaire de Chambly-Canton, 1949.P.104.74.1084.JPG : Centenaire de Chambly-Canton, 1949. P.104.75.1085.jpg : Quelques invités au banquet du 3 septembre 1949. Première rangée : M. et Mme. Conrad Beauvais, M. et Mme. Roger Langlois. Deuxième rangée : (de dos) M. et Mme. Charles J. Prescott, Narcisse Ducharme. Troisième rangée : Mme. Gardner H. Prescott, Major Berthiaume, commandant du collège militaire de Saint-Jean, organisateur de la collaboration des Forces armées.P.104.75.1085.JPG : Quelques invités au banquet du 3 septembre 1949. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.92.0074, N.003.10.0074P.103.36.0074, P.105.01.0129, P..105.01.0130, P.105.01.0131P.105.02.0133, P.105.09.0164, P.105.10.0165, P.105.10.0166P.105.10.0167, P.104.74.1084, P.104.75.1085P.511.-.0074Voûte de la mairie de Chambly.P001,S2,D2CHARS ALLÉGORIQUES. – 1949. – 9 photographies noir et blanc; 10cm x 15cm.Portée et contenu : Ce dossier est formé d’images de chars allégoriques lors d’un défilé.P.105.07.0154.jpg : Photo prise sur la commune, 1949.P.105.07.0154.JPG : Photo prise sur la commune, 1949. P.105.07.0155.jpg : Photo prise rue Bourgogne devant la commune, 1949.P.105.07.0155.JPG : Photo prise rue Bourgogne devant la commune, 1949. P.105.07.0156.jpg : Le chien messager du vieux fort. Photo prise rue Bourgogne. Légende du chien Niagara, un chien qui recevait une solde de soldat.P.105.07.0156.JPG : Le chien messager du vieux fort. P.105.08.0157.jpg : Photo prise rue Bourgogne à Fort Chambly. Rappel du passage du Père Isaac Joseph, Jésuite, vers les villages iroquois où il a subi le supplice et la mort, 1949. P.105.08.0157.JPG : Photo prise rue Bourgogne à Fort Chambly. P.105.08.0158.jpg : Photo prise rue Bourgogne à Fort Chambly, rappel de l’incorporation municipale, 1949.P.105.08.0158.JPG : Photo prise rue Bourgogne à Fort Chambly. P.105.08.0159.jpg : Photo prise rue Bourgogne à Fort Chambly, rappel du mariage du fils du héros nationale à Amélie Guy à Montréal, 1949.P.105.08.0159.JPG : Photo prise rue Bourgogne à Fort Chambly. P.105.08.0160.jpg : Photo prise rue Bourgogne devant la Commune, 1949.P.105.08.0160.JPG : Photo prise rue Bourgogne devant la Commune, 1949. P.105.09.0161.jpg : Photo prise rue Bourgogne à Fort Chambly, 1949.P.105.09.0161.JPG : Photo prise rue Bourgogne à Fort Chambly, 1949. P.105.09.0163.jpg :  » Chick  » Dubuc, Chien  » Niagara « . Détail d’un char allégorique. Photo prise rue Bourgogne à Fort Chambly. Rappel du chien facteur entre La Prairie et Chambly sous le régime français. L’homme est Chick Dubuc d’après Armand Auclaire, 1949. P.105.09.0163.JPG : Détail d’un char allégorique. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : P.105.07.0154, P.105.07.0155, P.105.07.0156, P.105.08.0157P.105.08.0158, P.105.08.0159, P.105.08.0160, P.105.09.0161P.105.09.0163Voûte de la mairie de Chambly.P001,S2,D3COMBAT SIMULÉ : IROQUOIS CONTRE LE FORT FRANÇAIS. – 1949. – 5 photographies noir et blanc; 8cm x 13cm.Portée et contenu : Ce dossier contient des images d’un combat simulé mettant en scène une attaque des Iroquois contre le fort français. On remarque également une photo des comédiens costumés en Iroquois.P.105.10.0168.jpg : Combat simulé autour du fort français (en bois) sur le parc de la Commune. Événement qui soulignait l’histoire de Chambly lors des fêtes du 100e anniversaire de l’incorporation de Chambly-Canton.P.105.10.0168.JPG : Combat simulé autour du fort français. P.105.11.0169.jpg : Combat simulé autour du fort français (en bois) sur le parc de la Commune. Évenement qui soulignait l’histoire de Chambly lors du 100e anniversaire de l’incorporation de Chambly-Canton.P.105.11.0169.JPG : Combat simulé autour du fort français. P.105.11.0170.jpg : Attaque des Iroquois contre le fort de Chambly, au cours d’un combat simulé sur le pard de la commune pendant les fêtes du 100e anniversaire de Chambly-Canton, 1949. (B. Laflamme)P.105.11.0170.JPG : Attaque des Iroquois contre le fort de Chambly. P.105.11.0171.jpg : Phase du combat simulant l’attaque du fort français par les indiens, joué dans le parc de la Commune lors des célébration du 100e anniversaire de Chambly-Canton, 1949. (B. Laflamme)P.105.11.0171.JPG : Phase du combat simulant l’attaque du fort français par les indiens. P.105.11.0172.jpg : Groupe de comédiens participants au combat simulé du fort de Chambly dans le parc de la Commune pendant les fêtes du 100e anniversaire de Chambly-Canton, 1949. (B. Laflamme)P.105.11.0172.JPG : Groupe de comédiens participants au combat simulé du fort de Chambly. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : P.105.10.0168, P.105.11.0169, P.105.11.0170, P.105.11.0171P.105.11.0172Voûte de la mairie de Chambly.P001,S2,D4CÉRÉMONIES RELIGIEUSES. – 1949. – 3 photographies noir et blanc; 8cm x 13cm, 20cm x 25cm.Portée et contenu : Ce dossier contient des images d’offices religieux et d’une procession.P.104.70.1080.jpg : Célébration religieuse au fort de Chambly. Centenaire de Chambly, 1949.P.104.70.1080.JPG : Célébration religieuse au fort de Chambly. Centenaire de Chambly, 1949. P.104.71.1081.jpg : Messe, Centenaire de Chambly, 1949.P.104.71.1081.JPG : Messe, Centenaire de Chambly, 1949. P.105.01.0132.jpg : Assistance et la messe au fort. Centenaire de Chambly, 1949. (A. Auclaire)P.105.01.0132.JPG : Assistance et la messe au fort. Centenaire de Chambly, 1949. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : P.105.01.0132, P.104.70.1080, P.104.71.1081Voûte de la mairie de Chambly.P001,S2,D5FANFARE MILITAIRE. – 1949. – 1 photographie noir et blanc; 20cm x 25cm.Portée et contenu : Ce dossier est composé d’un cliché d’une fanfare militaire.P.104.73.1083.jpg : Défilé du contingent de l’armée canadienne devant la tribune d’honneur, 3 sept. 1949.P.104.73.1083.JPG : Défilé du contingent de l’armée canadienne devant la tribune d’honneur, 3 sept. 1949. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : P.104.73.1083Voûte de la mairie de Chambly.P001,S2,D6CHOEUR DE CHANT. – 1949. – 1 photographie noir et blanc; 20cm x 25cm.Portée et contenu : Ce dossier est formé d’une image montrant un choeur de chant féminin.P.104.72.1082.jpg : Chœur de chant, centenaire de Chambly, 1949.P.104.72.1082.JPG : Chœur de chant, centenaire de Chambly, 1949. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : P.104.72.1082Voûte de la mairie de Chambly.P001,S2,D7FOULE AU PARC DE LA COMMUNE. – 1949. – 1 photographie noir et blanc; 8cm x 13cm.Portée et contenu : Ce dossier contient une vue d’ensemble d’une foule rassemblée au parc de la Commune lors des festivités.P.105.09.0162.jpg : Foule au parc de la Commune, 1949.P.105.09.0162.JPG : Foule au parc de la Commune, 1949. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : P.105.09.0162Voûte de la mairie de Chambly.P001,S3COMMERCES. – 1905?-1930?. – 5 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm, 28cm x 36cm. – 4 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série comprend des vues extérieures et intérieures du magasin général Auclaire, ainsi qu’un cliché de l’atelier du carrossier Stanislas Meunier. On remarque une carriole et un corbillard devant l’atelier de Stanislas Meunier.N.003.02.0031.jpg : Atelier de Stanislas Meunier, carossier, situé à la jonction des rues Bourgogne et Langevin. À gauche, Stanislas Meunier et son fils Alfred, portant veston blanc. À l’extrême-droite, Paul-Émile Caron, marchand, restaurateur, réparateur de bicyclettes, etc., de Chambly. Le fourgon blanc servait au transport des enfants décédés avant l’âge de leur première communion. Le type de voiture dit Surrey avec sa toiture à frange était très populaire à l’époque. Collection Guy Meunier, vers 1905. (même : P.102.06.0031, N.002.80.0031, P.511.0031, P.516.0031)N.003.02.0031.JPG : Atelier de Stanislas Meunier, vers 1905. P.116.04.2310.jpg : Magasin Auclaire. Angle église et Bourgogne. Résidence Irénée Auclaire. (même : N.001.14.2310)P.116.04.2310.JPG : Magasin Auclaire. P.301.51.2366.jpg : Irénée Auclaire, Magasin Général. (même : N.001.14.2366)P.301.51.2366.JPG : Irénée Auclaire, Magasin Général. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.80.0031, N.001.14.2310, N.001.14.2366, N.003.02.0031P.102.06.0031, P.116.04.2310, P.301.51.2366P.511.-.0031, P.516.-.0031Voûte de la mairie de Chambly.P001,S4ÉCOLES. – 1895?-1980?. – 11 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm, 28cm x 36cm. – 5 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série est composée principalement de prises de vue extérieures d’établissements scolaires, soit le couvent de la Congrégation Notre-Dame, le collège Saint-Joseph vers 1895, l’école Valmarie vers 1950 et la garderie Boîte à Soleil vers 1980. La série contient également des images des ruines de l’école Valmarie à la suite d’un incendie en mai 1953, ainsi qu’une photo de la classe de quatrième année de monsieur Armand Auclaire en 1921.P.102.02.0029.jpg : Le couvent des Dames de la Congrégation de Notre-Dame érigé en 1855 à la suite de démarches de Messire Pierre-Marie Mignault, curé de Cahmbly. C’est maintenant (1980) la Maison culturelle de Chambly. (même : N.002.85.0029)P.102.02.0029.JPG : Le couvent des Dames de la Congrégation de Notre-Dame, 1980. P.102.12.0034.jpg : Le collège Saint-Joseph de Chambly, dirigé par les Frères de l’Instruction Chrétienne. Érigé en 1868, près de l’église Saint-Joseph, sur l’emplacement de ce qui est maintenant un terrain de stationnement. Il fut utilisé jusqu’à la construction de la nouvelle école Saint-Joseph, rue Bourgogne, alors qu’il devint le local des loisirs de Chambly. Incendié le 11 juin 1965. (même : N.002.96.0034 et P.511.0034)P.102.12.0034.JPG : Le collège Saint-Joseph de Chambly. P.102.28.0042.jpg : Le Valmarie sous la neige. À remarquer l’élégante clôture de fer forgé datant de l’époque de S.T. Willett, 1950. (même : N.002.30.0042)P.102.28.0042.JPG : Le Valmarie sous la neige, 1950. P.102.30.0043.jpg : Le manoir Willett – Destin tragique. La fin de ce qui fut la plus spacieuse et la plus luxueuse demeure de Chambly. Un incendie détruisit tout l’intérieur du Valmarie au cours de la nuit du 15 au 16 mai 1953.P.102.30.0043.JPG : Le manoir Willett – Destin tragique, 1953. P.102.32.0044.jpg : La population apporte réconfort et vivres aux religieuses éprouvées. Elles construisirent, de leurs, mains, au cours de l’été 1953, une bâtisse de bois où elles continuèrent à dispenser des cours à un groupe réduit d’élèves jusqu’à leur exode à Saint-Bruno en septembre 1955.P.102.32.0044.JPG : Le manoir Willett – Destin tragique, 1955. P.102.34.0045.jpg : L’incendie du Valmarie. Malgré les efforts des pompiers, seuls les murs restèrent debout.P.102.34.0045.JPG : L’incendie du Valmarie. P.102.36.0046.jpg : L’incendie du Valmarie. Un court-circuit dans le système électrique fut la cause de l’incendie. Voici l’aspect désolant que présentait le grand salon du Valmarie au lendemain de l’incendie de 1953.P.102.36.0046.JPG : L’incendie du Valmarie, 1953. P.102.54.0055.jpg : La commission scolaire de Chambly-Canton avait réclamé son terrain occupé, en partie, par la chapelle afin d’y construire une nouvelle école en remplacement de l’autre qui était devenue trop vétuste. C’est cette nouvelle école que l’on voit ici et qui servit jusqu’à la construction de la première école Jacques-de-Chambly, sur la Commune. En 1980, cette bâtisse abritait une garderie après avoir servie à divers usages, 1980. (même : N.002.86.0055)P.102.54.0055.JPG : L’académie du Canton, 1980. P.104.26.0098.jpg : École élémentaire de Chambly-Canton, classe de 4e année en 1921. Les garçons : Eugène Dumaine, Mlle M. Charron (de Rougemont), institutrice, Armand Auclaire, Roland Racicot, Léonard Messier, Paul-Émile Breux, Gilbert Brunelle, Henri-Collette, Lucien Janelle, Roland Guertin, François Forest. Les filles : rangée de droite : Laurette Saucier, Madeleine Pelletier, Laurette Larocque, Clarisse Benoît, Georgette Lamoureux. Rangée du centre : Marie-Anne Dubois, Jeannette McCutcheon, Adrienne Dupont, debout Alice Viens, Marcelle Davignon; rangée du fond : Marie-Jeanne McCutcheon, Clara Collette, Rachel Bourgelas. (A. Auclaire) (même : N.002.96.0098, P.517.0098)P.104.26.0098.JPG : École élémentaire de Chambly-Canton, 1921. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.85.0029, N.002.96.0034, N.002.30.0042, N.002.86.0055N.002.96.0098P.102.02.0029, P.102.12.0034, P.102.28.0042, P.102.54.0055P.104.96.0098, P.102.30.0043, P.102.32.0044, P.102.34.0045P.102.36.0046P.511.-.0034, P.517.-.0098Voûte de la mairie de Chambly.P001,S5ÉGLISES. – 1890?-1980?, surtout 1890?-1924?. – 15 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm, 28cm x 36cm ou plus petit. – 10 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série consiste en des prises de vue d’édifices à caractère religieux. On remarque l’église anglicane St-Stephen’s et les mausolées des familles Hatt et Yule, l’église catholique Saint-Joseph de Chambly, l’église méthodiste, la chapelle Notre-Dame-du-Rosaire et son sanctuaire, la mission presbytérienne de Chambly-Canton et le presbytère Saint-Joseph. La série contient également un cliché de la famille d’Antoine Roy, pasteur presbytérien, ainsi qu’une image de monsieur et madame Girard en prière à l’heure de l’Angélus.P.101.24.0012.jpg : L’église anglicane St-Stephen’s de Chambly, érigée en 1820 comme église de garnison. Après 1851, elle devient l’église paroissiale de la communauté protestante de Chambly. (même : N.002.82.0012)P.101.24.0012.JPG : L’église anglicane St-Stephen’s de Chambly. P.101.54.0027.jpg : L’église Saint-Joseph-de-Chambly érigée en 1881. La chapelle du fort servit d’église paroissiale de 1721 à 1757 alors qu’une église de pierre est construite sur l’emplacement de l’église actuelle. Celle-ci fut détruite par un incendie en 1806. Reconstruite en 1810, elle brûla de nouveau en 1880 et fut remplacée par celle qui sert présentement (1980) au culte. (même : N.002.82.0027)P.101.54.0027.JPG : L’église Saint-Joseph-de-Chambly érigée en 1881. P.102.10.0033.jpg : L’église méthodiste de Chambly qui était située à l’angle sud-est des rues Bourgogne et Charles-Boyer. Incendiée en 1944. (même : N.002.10.0033, P.510.0033)P.102.10.0033.JPG : L’église méthodiste de Chambly. P.102.50.0053.jpg : Le sanctuaire de la chapelle de desserte de Chambly-Canton qui avait été placée sous le vocable de Notre-Dame-du-Rosaire. (même : N.002.95.0053, P.510.0053)P.102.50.0053.JPG : Le sanctuaire de la chapelle de desserte de Chambly-Canton. P.102.52.0054.jpg : En 1916, la commission scolaire de Chambly-Canton, sur le terrain de laquelle avait été érigée la chapelle de desserte, réclame son terrain. Celle-ci est déménagée à l’intersection des rues des Carrières et de l’Église, en novembre de la même année. On y ajoute une sacristie et un portique (qui n’avait pas encore été érigé au moment où cette photo fut prise) ainsi qu’un abri à l’arrière pour les voitures et chevaux des paroissiens de Sainte-Thérèse, vers 1917. (même : N.002.97.0054, P.512.0054)P.102.52.0054.JPG : Église. P.104.08.0089.jpg : La mission presbytérienne de Chambly érigée en 1870 et qui, bien qu’ayant subi des transformations au cours des ans, se dresse toujours à l’intersection des rues Bourgogne et Saint-Louis (1981). L’édifice servait également d’école pour les enfants des fidèles francophones et anglophones de cette foi. Les cours étaient bilingues. (même : N.002.96.0089)P.104.08.0089.JPG : La mission presbytérienne de Chambly érigée en 1870. P.104.10.0090.jpg : De droite à gauche : le révérend Antoine Boy (1841-1905) natif de Sornay, France, pasteur de la congrégation presbytérienne de Chambly et professeur à l’école de la mission, sa fille Clara, son épouse en secondes noces (Sarah Duclos), son gendre A.H. Ransom, 1890. (même : N.002.75.0090, P.516.0090)P.104.10.0090.JPG : Église. P.104.14.0092.jpg : L’ancien presbytère de Saint-Joseph de Chambly remplacé en 1924, par le presbytère actuel (1981). (même : N.002.72.0092)P.104.14.0092.JPG : L’ancien presbytère de Saint-Joseph de Chambly. P.104.38.0104.jpg : Non, ce n’est pas l’Angelus de Millet! C’est plutôt le recueillement d’un vieux couple de Chambly au son de l’Angelus du midi en cet été 1917. C. Gérard et son épouse. (même : N.002.74.0104, P.516.0104)P.104.38.0104.JPG : Non, ce n’est pas l’Angelus de Millet!. P.104.56.0113.jpg : L’église anglicane St-Stephen’s de Chambly en 1924. À gauche, la mausolé de la famille Hatt; à droite, celui de la famille Yule. L’église et les mausolées ont été érigés en 1820. (A. Auclaire) (même : N.002.96.0113)P.104.56.0113.JPG : L’église anglicane St-Stephen’s de Chambly en 1924. Source du titre composé propre : Le titre est basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.82.0012, N.002.82.0027, N.002.31.0033, N.002.95.0053, N.002.97.0054, N.002.96.0089, N.002.75.0090, N.002.72.0092,N.002.96.0113, N.002.74.0104P.101.24.0012, P.101.54.0027, P.102.10.0033, P.102.50.0053P.102.52.0054, P.104.08.0089, P.104.10.0090, P.104.14.0092P.104.56.0113, P.104.38.104P.510.-.0033, P.510.-.0053, P.512.-.0054, P.516.-.0090P.516.-.0104Voûte de la mairie de Chambly.P001,S6FORT. – 1905?-1949?. – 39 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm, 40cm x 50cm ou plus petit. – 16 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série contient des documents photographiques relatifs au fort de Chambly. Elle est formée de quatre dossiers, soit : fort de Chambly, bâtiments militaires, plans et cartes, tableaux.Source du titre composé propre : Le titre est basé sur le contenu de la série.P001,S6,D1FORT DE CHAMBLY. – 1920?-1949?. – 19 photographies noir et blanc; 8cm x 13cm, 20cm x 25cm. – 1 négatif n&b.Portée et contenu : Ce dossier est formé de diverses prises de vue extérieures du fort et de l’intérieur de son enceinte. On voit notamment l’entrée du donjon, les ruines de la résidence de l’aumônier, la poudrière, le musée et l’entrée du fort.P.101.08.0004.jpg : Le fort de Chambly en 1920. (même : N.002.106.0004)P.101.08.0004.JPG : Le fort de Chambly en 1920. P.105.02.0136.jpg : Le mur de droite est la courtine est; le bastion nord-est en partie démoli, une partie de la courtine nord existe encore au centre de la photo. (B. Laflamme)P.105.02.0136.JPG : Fort. P.105.03.0137.jpg : Musée construit par les conservateurs adossée à la courtine ouest, ruines du bastion nord-ouest. La masse de verdure est un contrefort de la courtine nord remplacée par la clôture après sa démolition. (B. Laflamme)P.105.03.0137.JPG : Ruines du fort. P.105.03.0138.jpg : La maison était le musée adossé à la courtine ouest, le bastion nord-ouest a le coin disparu. La porte au centre donne accès au donjon, 1949. (B. Laflamme)P.105.03.0138.JPG : Fort, 1949. P.105.03.0139.jpg : Vue, à droite, de la courtine sud et du bastion sud-est. À gauche, ruines du mur de l’hôpital et de la résidence de l’aumônier. La cheminée, au centre de ce logement est restée debout. (B. Laflamme)P.105.03.0139.JPG : Fort. P.105.03.0140.jpg : La clôture a remplacé la courtine nord effondrée, une partie a résisté que l’on voit vers le centre. La courtine au fond est percée d’une porte qui donne accès au magasin à poudre, 1949. (B. Laflamme)P.105.03.0140.JPG : Fort, 1949. P.105.04.0141.jpg : La courtine est logeait les quartiers des sous-officiers. Les constructions visibles ont été refaites par les conservateurs. Au fond, la courtine sud, 1949. (B. Laflamme)P.105.04.0141.JPG : Fort, 1949. P.105.04.0142.jpg : Les photographes sont installés sur un contrefort de la courtine nord. Les ruines du bastion nord-ouest occupent le côté gauche, 1949. (B. Laflamme)P.105.04.0142.JPG : Fort, 1949. P.105.04.0143.jpg : Entrée principale du fort s’ouvrant sur la courtine ouest, 1949. (B. Laflamme)P.105.04.0143.JPG : Fort, 1949. P.105.04.0144.jpg : Photo prise de l’intérieur du donjon au fort, 1949. (B. Laflamme)P.105.04.0144.JPG : Fort, 1949. P.105.05.0145.jpg : Au premier plan, le bastion sud-est, la courtine ouest avec sa porte principale et le bastion sud-est, à droite. Noter la clôture devant le fort, les poteaux d’électricité, 1949. (B. Laflamme)P.105.05.0145.JPG : Fort, 1949. P.105.05.0146.jpg : La façade du fort de Chambly. Le bastion sud-est est à droite; celui du nord-ouest est à demi-effondré, 1949. (B. Laflamme)P.105.05.0146.JPG : La façade du fort de Chambly, 1949. P.105.05.0147.jpg : Vue du fort de Chambly depuis l’entrée du parc : les bastions sud-est et sud-ouest, les courtines sud et ouest, 1949. (B. Laflamme)P.105.05.0147.JPG : Vue du fort de Chambly depuis l’entrée du parc, 1949. P.105.05.0148.jpg : Vue de la courtine sud avec ses deux bastions et d’une partie du basin de Chambly. (B. Laflamme)P.105.05.0148.JPG : Vue de la courtine sud avec ses deux bastions et d’une partie du basin de Chambly. P.105.06.0149.jpg : Vue du fort de Chambly depuis la rivière montrant l’ouverture béante laissée par l’effondrement de la courtine nord. Les deux bastions sont aussi endommagés, 1949. (B. Laflamme)P.105.06.0149.JPG : Vue du fort de Chambly, 1949. P.105.06.0150.jpg : Vue du fort de Chambly prise du bord du bassin à l’entrée du parc. Noter le Mont-Saint-Bruno à l’horizon, 1949. (B. Laflamme)P.105.06.0150.JPG : Vue du fort de Chambly, 1949. P.105.06.0151.jpg : Le bastion nord-ouest partiellement démoli, le dessus d’un mur de pierre le protège des eaux du bassin. Noter la montagne Saint-Bruno à l’horizon, 1949. (B. Laflamme)P.105.06.0151.JPG : Le bastion nord-ouest partiellement démoli, 1949. P.105.06.0152.jpg : Vue du fort montrant ses fondations qui plongent la rivière. La clôture a remplacé la courtine nord emportée par les glaces. Le bastion nord-est en partie démoli, 1949. (B. Laflamme)P.105.06.0152.JPG : Vue du fort montrant ses fondations qui plongent la rivière, 1949. Source du titre composé propre : Le titre est basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.106.0004P.101.08.0004, P.105.02.0136, P.105.03.0137, P.105.03.0138P.105.03.0139, P.105.03.0140, P.105.04.0141, P.105.04.0142P.105.04.0143, P.105.04.0144, P.105.05.0145, P.105.05.0146P.105.05.0147, P.105.05.0148, P.105.06.0149, P.105.06.0150P.105.06.0151, P.105.06.0152P.511.-.0004Voûte de la mairie de Chambly.P001,S6,D2BÂTIMENTS MILITAIRES. – 1905?, 1930? et 1980?. – 8 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm, 40cm x 50cm ou plus petit. – 7 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier est composé de prises de vue extérieures de bâtiments ayant eu une vocation militaire. On retrouve les casernes des officiers et des soldats, ainsi que la reconstition du tour de garde. P.101.12.0006.jpg : La caserne de pierre érigée en 1815 et telle qu’on pouvait encore la voir en 1905, soit 90 ans après son érection. De trois étages, elle logeait 972 soldats d’infanterie et 10 officiers subalternes. La bâtisse, à l’arrière, abritait les cuisines de 20 feux au rez-de-chaussée. Les cuisiniers, marmitons et autres préposés à la préparation des repas et transport de ceux-ci à la caserne logeaient aux étages supérieurs. Démolie vers la fin de la décennie 1930, on n’en conservera qu’une partie maintenant connue sous le nom de maison ducharme. (même : N.002.97.0006, N.003.15.0006, P.510.0006)P.101.12.0006.JPG : La caserne de pierre érigée en 1815. P.101.16.0008.jpg : La caserne de bois, dite caserne des officiers. Érigée peu de temps après 1815. En forme de U elle abritait tous les officiers supérieurs. Ceux-ci jouissaient d’une suite de pièces plus ou moins nombreuses selon leur rang. La caserne servait de quartier-général et contenait diverses pièces telles que bureaux, salle d’état-major, bibliothèque, salle-à-manger, salons, fumoir, etc. La bâtisse, vendue au Montreal Daily Star en 1885, fut transformée en colonie de vacances pour mères et enfants dépourvus de Montréal. Incendiée en 1930, elle fut reconstruite et continua sa vocation durant encore une quarantaine d’années. Elle était séparée de la caserne de pierre par la bâtisse du Corps de garde. (même : N.002.36.0008, N.003.14.0008, P.511.0008, P.513.0008, P.518.0008)P.101.16.0008.JPG : La caserne de bois, dite caserne des officiers. P.101.22.0011.jpg : Rue Richelieu – le Corps de garde, reconstruit en 1978 au coût de 250 000$ d’après les plans originaux de 1815. (même : N.002.81.0011)P.101.22.0011.JPG : Le Corps de garde. P.104.60.0115.jpg : Grande maison, revêtement de stuc, entrée à colonnades, un étage style victorien. Le Fresh Air Home. Bâtisse construite sur l’emplacement d’une autre détruite dans un incendie à l’automne de 1930 et qui avait servi de casernes aux officiers du camp militaire à partir de 1815. Cette dernière bâtisse fut, elle-même, endommagée peu avant la construction du Corps de garde dont elle était voisine du temps de la garnison. Les deux incendies précisés auraient été l’œuvre de pyromanes. (même : N.002.42.0115, N.003.16.0115)P.104.60.0115.JPG : Le Fresh Air Home. Source du titre composé propre : Le titre est basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.97.0006, N.003.15.0006, N.002.36.0008, N.003.14.0008N.002.81.0011, N.002.42.0115, N..003.16.0115P.101.12.0006, P.101.16.0008, P.101.22.0011, P.104.60.0115P.510.-.0006, P.511.-.0008, P.513.-.0008, P.518.-.0008Voûte de la mairie de Chambly.P001,S6,D3PLANS ET CARTES. – 198-?. – 7 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm, 40cm x 50cm ou plus petit. – 5 négatifs n&b.Portée et contenu : Nous retrouvons dans ce dossier des reproductions photographiques d’un plan dressé par Chaussegros-de-Léry en 1721 en prévision de la fondation d’une ville à Chambly, d’un plan de 1826 en prévision de la construction d’un fort sur la Grande Isle (Île Goyer), ainsi qu’une carte de Chambly de 1815.P.101.02.0001.jpg : Projet pour former un commencement de ville à Chambly en 1721. Plan dressé par Chaussegros-de-Léry. Ce projet ne fut jamais réalisé. (même : N.002.36.0001, N.003.01.0001, P.513.0001)P.101.02.0001.JPG : Plan dressé par Chaussegros-de-Léry. P.101.10.0005.jpg : Plan du camp militaire de Chambly en 1815. (même : N.002.97.0005, P.501.0005)P.101.10.0005.JPG : Plan du camp militaire de Chambly en 1815. P.101.32.0016.jpg : En 1826, les forces armées se proposaient d’ériger une imposante forteresse sur la Grand’Isle, (maintenant Île Goyer), mais le projet ne vit jamais le jour ! On remarquera les nombreuses maisons qui existaient à cette époque sur les deux rives de la rivière et, particulièrement, du côté de Chambly, la Whelan Inn qui offrait l’hospitalité aux voyageurs venant de Sorel, Saint-Antoine, Contrecoeur, Saint-Marc, Beloeil, Varennes, Verchères et Boucherville. (même : N.002.36.0016, N.003.01.0016, P.501.07.0016, P.513.0016)P.101.32.0016.JPG : Plan. Source du titre composé propre : Le titre est basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.36.0001, N.003.01.0001, N.002.97.0005, N.002.36.0016, N.003.01.0016P.101.02.0001, P.101.10.0005, P.101.32.0016P.513.-.0001, P.510.-.0005, P.510.-.07.0016, P.513.-.0016Voûte de la mairie de Chambly.P001,S6,D4TABLEAUX. – 1979? et 1985?. – 5 photographies noir et blanc; 13cm x 18cm, 20cm x 25cm, 40cm x 50cm ou plus petit. – 3 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier contient des reproductions photographiques d’un dessin de Bartlett de 1840 et d’une toile de J. Henry Sandham de 1876.P.101.06.0003.jpg : Reproduction photographique d’une gravure bien connue du fort de Chambly et qui remonte aux années 1840. (même : N.002.39.0003, N.002.89.0003, P.510.003, P.519.0003)P.101.06.0003.JPG : Reproduction photographique d’une gravure bien connue du fort de Chambly. P.104.42.0106.jpg : Le fort de Chambly en 1876. L’incurie du gouvernant l’a laissé se détériorer; la courtine nord s’est partiellement effondrée, ses ouvertures sont béantes, la végétation a envahi son parapet. Certains résidents peu scrupuleux de Chambly pillent ses pierres et démolissent les bâtiments de bois à l’intérieur pour en faire du bois de construction ou de chauffage. À la suite d’une vigoureuse campagne menée par Joseph-Octave Dion et autres citoyens de Chambly, le fort était sauvé en 1881. Cette saisisante illustration est une reproduction photographique d’une toile de J. Henry Sandham, propriété du musée du Québec. (même : N.002.77.0106, P.519.0106)P.104.42.0106.JPG : Le fort de Chambly en 1876. Source du titre composé propre : Le titre est basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.39.0003, N.002.89.0003, N.002.77.0106P.101.06.0003, P.104.42.0106P.510.-.0003, P.519.-.0003, P.519.-.0106Voûte de la mairie de Chambly.P001,S7HOSPICE. – 1900?. – 3 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm, 18cm x 25.5cm. – 1 négatif n&b.Portée et contenu : Cette série consiste en une vue extérieure de l’hospice tenu par les Soeurs de la Charité de l’Hôpital Général.Description de la photographie : P.102.04.0030.jpg : Ce qu’on appellait l’hôpitale de Chambly, mais qui n’en fut jamais un, au sens strict du mot. Érigé par Pierre-Marie Mignault, curé de Chambly, en 1869, avec l’aide morale et financière de Mlle Clémence Sabatté, cette institution fut prise en charge par les Sœurs de la Charité de l’Hôpital-général (Sœurs grises). Au début, l’immeuble abrita des vieillards, des infirmes et des orphelins. Plus tard, on y accueillit des enfants épileptiques ou exceptionnels. Après un siècle d’activités, la bâtisse désaffectée fut détruite par un incendie qu’on attribua à des vandales. Sur son site, rue Martel, s’élève maintenant (1980) la Résidence Saint-Joseph pour personnes âgées, vers 1900 ou 1905. (même : N.002.28.0030, P.510.0030, P.511.0030)Autre description trouvée : Ce solide édifice d’abord connu comme hôpital de Chambly appartenait aux Soeurs Grises qui l’ont ensuite transformé en orphelinat appelé l’hospice des Soeurs Grises. Il fut détruit par le feu en 1963 et son emplacement est maintenant occupé par la résidence Saint-Joseph, rue Martel. (texte de l’expo) Nous ignorons la source.Balise de la photographie numérisée : P.102.04.0030.JPG : Hospice. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.28.0030P.102.04.0030P.510.-.0030, P.511.-.0030Voûte de la mairie de Chambly.P001,S8INDUSTRIES. – 1880?-1955?. – 49 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm, 40cm x 50cm ou plus petit. – 37 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série est formée de documents photographiques qui informent sur le monde industriel de Chambly. Elle est constituée de quatre dossiers qui correspondent à des établissements industriels. Ces dossiers sont Bennett Limited, centrale hydroélectrique, Usines Willet et Burton Mills.Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.P001,S8,D1BENNETT LIMITED. – 1917-1950?. – 24 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm ou plus petit. – 3 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier contient des clichés de l’entreprise Bennett Limited. On remarque des images de la machinerie et des ouvriers exécutant différentes fonctions. On voit également des prises de vue extérieures de l’édifice actuel, de son édification en 1917, du premier bâtiment ayant abrité la Canadian Leatherboard Co. (plus tard Bennett Limited), ainsi que les ruines de cette bâtisse après un incendie en 1919.P.103.06.0059.jpg : Quand l’usine se fait belle! L’édifice de Bennett Limited recouvert de vignes au cours des années 1950. (même : N.002.97.0059)P.103.06.0059.JPG : L’édifice de Bennett Limited. P.104.32.0101.jpg : L’usine de Bennett Inc. en construction en 1917. (même : N.002.74.0101, N.003.08.0101)P.104.32.0101.JPG : L’usine de Bennett Inc. en construction en 1917. P.119.01.1002.jpg : Bennett Limited Plant. Cette usine est située à Chambly. La photo est prise à partie de l’autre rive du côté de la rivière Richelieu.P.119.01.1002.JPG : Bennett Limited Plant. P.119.02.1003.jpg : Bennett Limited Plant. La photo est prise à partir du pont de la voie ferrée qui traverse la rivière Richelieu.P.119.02.1003.JPG : Bennett Limited Plant. P.119.03.1004.jpg : Bennett Limited Plant. Vue arrière de l’usine située sur le canal de Chambly. P.119.03.1004.JPG : Bennett Limited Plant. P.119.04.1005.jpg : Bennett Limited, une des six machines, 1917-1950. L’une des six machines à produire 130 tonnes par semaine de matériaux à fibres.P.119.04.1005.JPG : Bennett Limited. P.119.05.1006.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Employés du département du cuir occupés à leur machine à tailler le cuir.P.119.05.1006.JPG : Bennett Limited, département du cuir. P.119.06.1007.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Employés du département de cuir à leur machine à tailler le cuir.P.119.06.1007.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.07.1008.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Employé du département du cuir en train de tailler des talons pour la fabrication de bottines pour les militaires et pour la population en général.P.119.07.1008.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.08.1009.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Chaque morceau de cuir est mesuré pour son épaisseur, examiné pour la qualité et coupé à une épaisseur uniformé sur ces machines.P.119.08.1009.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.09.1010.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Vue d’une machine à tailler les talons de cuir.P.119.09.1010.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.10.1011.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Classement de matériel. Boîtes de matériel utilisé dans le commerce de la réparation des chaussures.P.119.10.1011.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.11.1012.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Vue de la moitié de la munufacture de talons de chaussures montrant au premier plan les machines à fabriquer les talons de chaussures pour femmes. À l’arrière gauche, les machines à fabriquer des talons de chaussures pour hommes.P.119.11.1012.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.12.1013.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Machine à fabriquer les talons de chaussures pour hommes. Les talons semblent être montés à l’unité.P.119.12.1013.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.13.1014.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. L’un des quatre compresseurs à talons. Chaque machine à une capacité de 10 000 paires de talons par jour.P.119.13.1014.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.14.1015.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Vue rapprochée de cette puissante machine. (voir P.119.14.1014)P.119.14.1015.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.15.1016.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Vue générale des machines à mouler. Capacité quotidienne de plus de 5000 paires.P.119.15.1016.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.16.1017.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Machine à mouler automatique.P.119.16.1017.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.17.1018.jpg : La même machine vue du côté opposé. Capacité quotidienne de 5000 paires. (voir P.119.16.1017)P.119.17.1018.JPG : La même machine vue du côté opposé. P.119.18.1019.jpg : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. Comptoir d’emballage. Pièces de chaussures à classer.P.119.18.1019.JPG : Bennett Limited, département du cuir, 1917-1950. P.119.20.1021.jpg : Bennett Limited. Les ruines de la première usine. Le feu l’a détruite le 24 décembre 1919 et la photo a été prise le jour de Noël. April 15, 1924.P.119.20.1021.JPG : Bennett Limited. Les ruines de la première usine. P.119.21.1023.jpg : Bennett Limited. Vue de l’arrière de l’usine. (voir P.119.21.1022)P.119.21.1023.JPG : Bennett Limited. Vue de l’arrière de l’usine. P.119.22.1024.jpg : Bennett Limited. Ancienne filature de coton vacante, louée par la Canadian Leatherboard Compagny jusqu’au 24 décembre 1919, date où elle a été détruite par le feu. Dans cette usine, on fabriquait un matériel à fibres utilisé comme composante dans la fabrication des chaussures. Cette compagnie a été fondé par W.B. Johnson et Frank Norton à la demande et sous la gouverne de Charles J. Prescott qui est alors vice-président et directeur général de l’une des plus importantes manufactures de chaussures aux Etats-Unis.P.119.22.1024.JPG : Bennett Limited. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.97.0059, N.002.74.0101, N.003.08.0101P.103.06.0059, P.104.32.0101, P.119.01.1002, P.119.02.1003P.119.03.1004, P.104.32.0101, P.119.05.1006, P.119.06.1007P.119.07.1008, P.119.08.1009, P.119.09.1010, P.119.10.1011P.119.11.1012, P.119.12.1013, P.119.13.1014, P.119.14.1015P.119.15.1016, P.119.16.1017, P.119.17.1018, P.119.18.1019P.119.20.1021, P.119.21.1022, P.119.21.1023, P.119.22.1024Voûte de la mairie de Chambly.P001,S8,D2CENTRALE HYDROÉLECTRIQUE. – 1897?-1955?. – 12 photographies noir et blanc; 13cm x 18cm, 15.5cm x 18cm, 20cm x 25cm. – 16 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier contient des images de la centrale hydroélectrique de la Montreal Light, Heat and Power située à Richelieu. On voit notamment la centrale en construction, la salle de contrôle, les génératrices, le barrage, une machine effectuant des réparations sur ce dernier et une vue aérienne.P.103.12.0062.jpg : Centrale hydro-électrique, évacuateurs originaux et partie du deuxième barrage vus de Chambly. À l’avant-plan, la digue de dérivation du canal qui amenait l’eau nécessaire au fonctionnement des usines situées en aval, vers 1910. (même : N.002.105.0062, N.003.18.0062, P.512.0062)P.103.12.0062.JPG : Centrale hydro-électrique. P.103.14.0063.jpg : Vue arrière de la centrale hydro-électrique, de l’évacuateur et d’une partie du deuxième barrage, 1910. (même : N.002.87.0063, N.003.09.0063, P.512.0063)P.103.14.0063.JPG : Vue arrière de la centrale hydro-électrique, de l’évacuateur et d’une partie du deuxième barrage, 1910. P.103.16.0064.jpg : Réparation au barrage Chambly-Richelieu, 1925. (même : N.002.106.0064, N.003.11.0064, P.510.0064, P.512.0064)P.103.16.0064.JPG : Réparation au barrage Chambly-Richelieu, 1925. P.104.16.0093.jpg : 1897, la centrale hydroélectrique Chambly-Richelieu en construction. (même : N.002.72.0093, N.003.10.0093)P.104.16.0093.JPG : 1897, la centrale hydroélectrique Chambly-Richelieu en construction. P.104.18.0094.jpg : Salle des contrôles de la centrale hydroélectrique Chambly-Richelieu au moment où débuta son exploitation en 1901. (même : N.002.72.0094, N.003.10.0094)P.104.18.0094.JPG : Salle des contrôles de la centrale hydroélectrique Chambly-Richelieu au moment où débuta son exploitation en 1901. P.104.20.0095.jpg : Les génératrices de la centrale hydroélectrique Chambly-Richelieu, 1901. (même : N.002.72.0095, N.003.10.0095)P.104.20.0095.JPG : Les génératrices de la centrale hydroélectrique Chambly-Richelieu, 1901. P.104.22.0096.jpg : Vue à vol d’oiseau des installations de la centrale hydroélectrique Chambly-Richelieu peu avant leur désaffection en 1955. (même : N.002.70.0096, N.003.09.0096)P.104.22.0096.JPG : Vue à vol d’oiseau des installations de la centrale hydroélectrique Chambly-Richelieu peu avant leur désaffection en 1955. P.104.54.0112.jpg : La centrale hydroélectrique de Richelieu vue de l’aval, vers 1920. (même : N.002.77.0112, N.003.12.0112)P.104.54.0112.JPG : La centrale hydroélectrique de Richelieu vue de l’aval, vers 1920. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.72.0093, N.003.10.0093, N.002.72.0094, N.003.10.0094N.002.72.0095, N.003.10.0095, N.002.70.0096, N.003.09.0096N.002.77.0112, N.003.12.0112, N.002.87.0063, N.003.09.0063N.002.106.0064, N.003.11.0064, N.002.105.0062, N.003.18.0062P.104.16.0093, P.104.18.0094, P.104.20.0095, P.104.22.0096P.104.54.0112, P.103.14.0063, P.103.16.0064, P.103.12.0062P.512.-.0063, P.510.-.0064, P.512.-.0064, P.512.-.0062Voûte de la mairie de Chambly.P001,S8,D3USINES WILLETT. – 1880?-1910?. – 11 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm ou plus petit. – 14 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier est composé de prises de vue extérieures des bâtiments formant le complexe industriel de Stephen Thomas Willett, dont la tisserie de coton, la tisserie de laine et la minoterie. On remarque également les ruines des édifices abritant la tisserie de laine et les bureaux administratifs après un incendie en 1912, ainsi qu’un cliché de paysage pris à l’intérieur d’un des tuyaux du canal de dérivation.P.102.38.0047.jpg : Les usines Willett vues de Richelieu. La tisserie de coton, construite à quelque distance à gauche n’est visible sur ce cliché. Aux époques de grandes activités, ces usines employaient jusqu’à 200 ouvriers, nombre important pour les villages de Chambly-Canton et Chambly-Bassin, dont la population ne dépassait guère les 1500 âmes, 1880. (même : N.002.97.0047, N.003.02.0047, N.003.13.0047, P.511.0047)P.102.38.0047.JPG : Les usines Willett vues de Richelieu. P.102.40.0048.jpg : (même : N.002.97.0048, N.003.03.0048, N.003.17.0048, P.518.0048)P.102.40.0048.JPG : Usines Willett. P.102.42.0049.jpg : Cette très ancienne photo des usines Willett est particulièrement intéressante parce qu’elle illustre la façon dont la force hydraulique faisant fonctionner ces usines. Le canal de dérivation, que l’on voit ici, passait sous les bâtisses et la force du courant de l’eau actionnait de grandes roues à aubes auxquelles étaient raccordés des arbres de couche et des engrenages qui faisaient fonctionner la machinerie, vers 1880. (même : N.002.97.0049, N.003.16.0049, P.512.0049)P.102.42.0049.JPG : Usines Willett. P.102.44.0050.jpg : C’est à compter de 1901 que les usines Willett furent électrifiées. Elles étaient les premières de leur genre au pays à l’être et, ceci grâce à la construction d’une centrale hydroélectrique et d’un barrage entre Chambly et Richelieu. La tisserie de coton, à l’avant-plan, désaffectée depuis quelques années, fut achetée, en 1910, par la Canadian Leatherboard Co. Elle fut, elle-même, détruite par un incendie le 24 décembre 1918. À la suite de cet incendie, la Canadian Leatherboard Co. Fut réorganisée sous le nom de Bennett Limited qui avait commencé l’érection de son usine actuelle en 1917. C’est donc dans cette ancienne bâtisse du Complexe Willett que Bennett Limited fit ses débuts, vers 1905. (même : N.002.35.0050, N.003.18.0065)P.102.44.0050.JPG : Usines Willett. P.102.46.0051.jpg : Usines Willett. Seules la tisserie de coton et la minoterie échappèrent à l’incendie qui détruisit les usines Willett en 1910. Le solage, à l’avant-plan, était celui de la bâtisse où étaient logés les bureaux de la compagnie. Le manoir, qui était situé à proximité, ne fut épargné que grâce à ses murs de pierre et à sa toiture d’ardoise, 1910. (même : N.002.69.0051, N.003.17.0051, P.511.0051, P.519.0051)P.102.46.0051.JPG : Usines Willett. P.103.18.0065.jpg : Photo prise en 1951 de l’intérieur d’un des tuyaux qui, passant sous le barrage, alimentait le canal de dérivation qui fournissait le pouvoir hydraulique aux usines. Désaffecté depuis de nombreuses années, le canal était envahi par la végétation et offrait un paysage des plus pittoresque. (même : N.002.57.0065)P.103.18.0065.JPG : Usines Willett. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.97.0047, N.003.02.0047, N.003.13.0047, N.002.97.0048N.003.03.0048, N.003.17.0048, N.002.97.0049, N.003.16.0049N.002.35.0050, N.003.02.0050, N.003.17.0050, N.002.69.0051N.003.17.0051, N.002.57.0065P.102.38.0047, P.102.40.0048, P.102.42.0049, P.102.44.0050P.102.46.0051, P.103.18.0065P.511.-.0047, P.518.-.0048, P.512.-.0049, P.511.-.0051P.519.-.0051Voûte de la mairie de Chambly.P001,S8,D4BURTON MILLS. – 1915?. – 2 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm. – 4 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier est formé de vues extérieures des édifices qui abritaient la compagnie Burton Mills au début du 19e siècle. Ces édifices étaient une partie du complexe industriel de Stephen Thomas Willett au moment où les photographies furent prises.P.104.48.0109.jpg : Les Burtons Mills de Chambly. Si on fait abstraction du poteau supportant des fils électriques, on a, ici, une reproduction de la minoterie érigée vers l’année 1800 par Christie Burton et exploitée par la suite par Samuel Hatt, Mahlon Willett et son fils Stephen-Thomas. D’autres bâtisses utilitaires étaient situées à l’arrière de celles qui sont visibles. C’était une entreprise considérable, à l’époque. La tisserie de laine des Willett, incendiée en 1912, était située à l’avant-plan. On peut en distinguer les vestiges, 1915. (même : N.002.76.0109, N.003.12.0109)P.104.48.0109.JPG : Les Burtons Mills de Chambly. P.104.50.0110.jpg : Les Burton Mills vers 1915. À l’arrière-plan, la tisserie de coton de S.T. Willett, incendiée le 24 décembre 1918, 1915. (même : N.002.77.0110, N.003.09.0110)P.104.50.0110.JPG : Les Burton Mills vers 1915. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.76.0109, N.003.12.0109, N.002.77.0110, N.003.09.0110P.104.48.0109, P.104.50.0110Voûte de la mairie de Chambly.P001,S9MAISON. – 1900?-1982?. – 35 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm, 40cm x 50cm. – 26 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série est constituée d’images extérieures de résidences ayant appartenu à des personnalités de Chambly. On voit les maisons Ducharme, Beattie, Samuel Hatt, John Yule, Maurice Cullen, Louis-Olivier Bergevin, Elzéar Pelletier, P.A.H. Loiseau, John W. Howard, Chiniquy, Joseph-Louis-Hippolyte Martel, Irénée Auclaire, Goodbody, le château Coombe, ainsi que les manoirs Salaberry et Stephen Thomas Willett. On remarque également les ruines du château Coombe et une peinture de la maison natale d’Emma Lajeunesse / Albani par Georges Delfosse datant de 1894.P.101.14.0007.jpg : Ce qui restait, en 1980, de la caserne de pierre ou caserne des fantassins, soit la maison Ducharme, située rue Richelieu, voisine du Corps de garde. (même : N.002.81.0007)P.101.14.0007.JPG : Caserne de pierre ou caserne des fantassins, soit la maison Ducharme. P.101.18.0009.jpg : Le manoir de Salaberry dont la construction fut terminée en 1815. Maison classée et l’une des très rares maisons de Chambly qui ait conservé ses caractéristiques originales tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. (même : N.002.83.0009)P.101.18.0009.JPG : Le manoir de Salaberry. P.101.20.0010.jpg : La maison du commandant de la garnison de Chambly, érigée entre 1812-1815, située au numéro 14 rue Richelieu et propriété de James R. Beattie, conseiller municipal de Chambly-Canton de 1939 à 1949. Cette maison, très bien conservée, est fidèle à l’originale à l’exception du rajout en bois à gauche. (même : N.002.82.0010)P.101.20.0010.JPG : La maison du commandant de la garnison de Chambly. P.101.26.0013.jpg : Le 22 Richelieu. Présumément érigée au tout début du 19e siècle par Samuel Hatt, minotier et père de Benjamin Hatt, premier maire de Cahmbly-Canton en 1849. C’est au cours d’une soirée chez les Hatt, que Charles-Michel de Salaberry fut frappé d’apoplexie, le 26 février 1829. Transporté chez-lui, il mourut le lendemain. Ceux qui ont connu cette maison il y a cinquante ans auraient peine à la reconnaître de nos jours tellement elle a subi d’agrandissements et de modifications tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. (même : N.002.85.0013, N.003.15.0013)P.101.26.0013.JPG : Le 22 Richelieu. P.101.28.0014.jpg : La maison qu’occupait John Yule à son décès en 1883. Elle était située sur l’emplassement où se trouve, aujourd’hui, l’ex-studio Cullen, soit, la dernière bâtisse à gauche sur la rue Richelieu en se dirigeant du fort vers le barrage. Occupée, ensuite, par une de ses filles célibataire, elle fut détruite vers 1910 par un incendie allumé accidentellement par un plombier qui tentait de dégeler une conduite d’eau au moyen d’une torche à essence, vers 1905.(même : N.002.106.0014, N.003.14.0014, P.512.0014)P.101.28.0014.JPG : La maison qu’occupait John Yule. P.101.30.0015.jpg : Le studio que le réputé peintre canadien Maurice Cullen s’était fait construire, vers 1925, sur le terrain autrefois occupé par Mlle Yule et dont la maison avait été détruite par un incendie plusieurs années auparavent. Ce studio, tranformé en maison d’habitation, est le dernier édifice à gauche en remontant la rue Richelieu, 1980. (même : N.002.86.0015, N.003.14.0015, P.511.0015)P.101.30.0015.JPG : Le studio du réputé peintre canadien Maurice Cullen. P.101.46.0023.jpg : Demeure et cabinet de consultation du Dr Louis-Olivier Bergevin, maire de Chambly-Canton en 1911-13, 1914-21 et 1925-29. Édifice érigé en 1896 et qui existe encore, il est situé rue Bourgogne, en face de l’ancien hôtel-de-ville de Chambly-Canton. (même : N.002.89.0023, N.002.36.0023)P.101.46.0023.JPG : Demeure et cabinet de consultation du Dr Louis-Olivier Bergevin. P.101.48.0024.jpg : Demeure et étal de boucher d’Elzéar Pelletier, intersection des rues Bourgogne et Saint-Jacques. Elzéar était le frère de Wilfrid et d’Edgar Pelletier, lesquels exploitèrent durant de nombreuses années des épiceries-boucheries à Chambly-Bassin. (même : N.002.85.0024, P.512.0024)P.101.48.0024.JPG : Demeure et étal de boucher d’Elzéar Pelletier. P.101.50.0025.jpg : Intersection Bourgogne et Beattie ; demeure de P.A.H. Loiseau, maire de Chambly-Canton, 1908-1910 et propriétaire de l’hôtel Balmoral, à gauche, le deuxième en importance à Chambly. La maison a été transformée au point de ne plus être reconnaissable et l’hôtel a été détruit par un incendie au cours de la décennie 1970, vers 1910. (même : N.002.88.0025, P.512.0025)P.101.50.0025.JPG : Demeure de P.A.H. Loiseau. P.102.08.0032.jpg : L’équipe qui travailla à la rénovation de la maison John W. Howard que la nouvelle fabrique de Très-Saint-Cœur-de-Marie acheta, en 1910, pour en faire un presbytère et y loger son premier curé. (même : N.002.80.0032, P.511.0032)P.102.08.0032.JPG : La maison John W. Howard. P.102.14.0035.jpg : Demeure et cabinet de consultation du Dr Joseph-Louis-Hippolyte Martel (1879-1926), éminent oto-rhino-laryngologiste pratiquant à Montréal et à Chambly, dont il en fut le maire durant quelques années. Cette maison, considérablement agrandie et modifiée existe toujours. Elle est située rue Martel à l’intersection de la rue Brouillet. La rue Martel a été nommé ainsi pour honorer la mémoire de cette famille distinguée de Chambly, à savoir : Michel-Stanislas Martel, m.d., (1838-1907), député de Chambly en 1878-79 et de nouveau de 1881 à 1886 ; de ses fils Stanislas, Joseph-Louis-Hippolyte, mentionné plus haut, et Georges, tous trois médecins. Sa fille était l’épouse du Dr Louis-Olivier Bergevin aussi de Chambly, vers 1900. (même : N.002.33.0035, P.510.0035)P.102.14.0035.JPG : Demeure et cabinet de consultation du Dr Joseph-Louis-Hippolyte Martel. P.102.22.0039.jpg : [Manoir Gabriel Christie (Willett)] (même : N.002.40.0039, N.002.86.0039, P.511.0039)P.102.22.0039.JPG : Manoir Gabriel Christie (Willett). P.102.24.0040.jpg : Le manoir Willett – deuxième version. En 1927, l’abbé Gauthier, curé de Saint-Jacques à Montréal et frère de Mgr Georges Gauthier, archevêque de Montréal, fait l’acquisition du manoir et le transforme en colonie de vacances pour les enfants de sa paroisse. On ajoute un étage à chaque extrémité du manoir et on lui donne le nom de Valdombre, 1928. (même : N.002.79.0040, P.518.0040)P.102.24.0040.JPG : Le manoir Willett. P.102.26.0041.jpg : Le manoir Willett – troisième version. L’entreprise du curé Gauthier a fait faillite. Les religieuses des Sacrés-Cœurs et de l’Adoration Perpétuelle en font l’acquisition en 1934 et s’y installent la même année. Elles y dispensent le cours élémentaire à leurs élèves pensionnaires et externes. Le manoir subit des transformations importantes et devient méconnaissable. Il est maintenant connu sous le nom de Valmarie, vers 1940. (même : N.002.87.0041, N.003.16.0041, P.511.0041)P.102.26.0041.JPG : Le manoir Willett. P.102.56.0056.jpg : La mitaine à Chiniquy, angle Bourgogne et Saint-Louis. 1. Mitaine : corruption française dérogatoire de l’anglais, meeting hall, nom que donnaient certaines sectes protestantes à leurs salles de réunions spirituelles. 2. Chiniquy : prêtre catholique apostat qui s’attacha de nombreux adeptes au dix-neuvième siècle. Les vérandahs et les lucarnes ajoutées plus tard ont changé l’aspect de cette bâtisse érigée par les disciples de Chiniquy vers 1880. La partie avant de la bâtisse servait de salle de réunions, alors que le pasteur logeait à l’arrière. Les fenêtres longues et étroites donnaient à l’église l’allure d’une chapelle, 1980.P.102.56.0056.JPG : La mitaine à Chiniquy, angle Bourgogne et Saint-Louis. P.103.02.0057.jpg : Le château Coombe. À cause de ses dimensions imposantes, la population de Chambly l’appelait le Château, mais ce n’en étais pas un. C’était, plutôt, une vaste maison de campagne, en pierres des champs, qu’un riche courtier en valeurs mobilières de Montréal, s’était fait construire au cours du dernier quart du 19e siècle, sur la rue Martel, face au Bassin, sur un terrain qui fait maintenant partie du club de golf de Chambly. Cette maison changea de propriétaires à plusieurs reprises. Au cours de plusieurs étés, Noah Timmins, découvreur des mines d’or du nord de l’Ontario et qui laissa son nom à la ville de Timmins, Ontario, l’occupa avec sa famille. Le dernier propriétaire de marque fut le Dr Hector Cypihot, médecin et financier de Montréal. Le château fut détruit par un incendie au cours de la matinée du 19 janvier 1948, par un froid de -35°C. Cette photo date du mois de mars 1948.P.103.02.0057.JPG : Le château Coombe. P.103.04.0058.jpg : Voici tout ce qui restait, en 1980, du château Coombe, soit deux colonnes de la vérandah qui entourait la maison sur trois façades. Cachées par la végétation l’été, elles ne sont visibles de la rue que durant l’hiver. (même : N.002.80.0058)P.103.04.0058.JPG : Château Coombe. P.103.38.0075.jpg : Cliché illustrant jusqu’à quel point l’apparence d’une bâtisse peut se transformer au cours des années. C’était la demeure et le magasin-général qu’Irénée Auclaire s’était fait construire, en 1896, à l’intersection des rues Bourgogne et de l’Église. En 1980, la succursale G. Narcisse Ducharme de la Caisse Populaire de Chambly occupe une partie de l’ancien magasin. L’étage au-dessus de celui-ci était aménagé en salle de réunions à l’usage des nombreuses associations qui existaient à Chambly à la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle. (A. Auclaire) (même : N.002.105.0075, P.511.0075)P.103.38.0075.JPG : Ancienne demeure et magasin général d’Irénée Auclaire. P.104.12.0091.jpg : La très vieille maison Goodbody (du nom de son plus ancien propriétaire connu) située au 2592 rue Bourgogne. La seule maison de ce style architectural à Chambly, on n’en connaît pas, malgré de sérieuses recherches, la date de sa construction. Elle pourrait remonter à la deuxième moitié du dix-huitième siècle. La bâtisse voisine est l’hôtel qu’exploitait Napoléon Poutré depuis la dernière décennie du 19e siècle jusque vers 1930 alors qu’il vendit l’immeuble à Joseph Archambault de Montréal mieux connu sous son nom de théâtre de Palmiéri. Celui-ci du même nom où il avait remporté tant de succès. Après le décès de celui-ci, l’hôtel connut plusieurs propriétaires. Au cours de la décennie 1970, il rencontra plusieurs déboires, dont un meurtre dans une de ses chambres. Il fut détruit au cours d’un incendie. Il était alors connu sous le nom de Hôtel Monaco. (même : N.002.69.0091, P.518.0091)P.104.12.0091.JPG : La très vieille maison Goodbody. P.104.58.0114.jpg : Maison en pierre et bois, style Victorien, trois cheminées colonnade de pierre autour de la vérandah. Le château Coombe dans toute sa splendeur! Vers 1910. (même : N.002.61.0114)P.104.58.0114.JPG : Le château Coombe. P.104.64.0117.jpg : Vue de l’arrière de la maison Salaberry, située au no 18 tue Richelieu, à Chambly, vers 1875.P.104.64.0117.JPG : La maison Salaberry. P.105.19.0189.jpg : La même photo apparaît dans une photocopie du Grognard daté du 17 mars 1883 (dossier Albani, collection Lajeunesse) et porte la légende suivante : Reproduction fidèle de maison natale d’Albani due au talent d’un peintre canadien, Georges Delfosse. Le tableau fut offert à la cantatrice. Pour faire sa toile, le peintre avait dû suivre les indications et les renseignements d’un antiquaire bien connu à l’époque : J.O. Dion. Reproduit dans le Monde Illustré, le 27 janvier 1894. (même : N.002.95.0189)P.105.19.0189.JPG : Reproduction fidèle de maison natale d’Albani. P.116.04.2311.jpg : Maison Armand Auclaire. (même : N.001.14.2311)P.116.04.2311.JPG : Maison Armand Auclaire. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.81.0007, N.002.83.0009, N.002.82.0010, N.002.85.0013N.003.15.0013, N.002.106.0014, N.003.14.0014, N.002.86.0015N.003.14.0015, N.002.89.0023, N.002.36.0023, N.002.85.0024N.002.88.0025, N.002.80.0032, N.002.33.0035, N.002.40.0039N.002.86.0039, N.002.79.0040, N.002.87.0041, N.003.16.0041N.002.80.0058, N.002.105.0075, N.002.69.0091, N.002.61.0114N.002.95.0189, N.001.147.2311P.101.14.0007, P.101.18.0009, P.101.20.0010, P.101.26.0013P.101.28.0014, P.101.30.0015, P.101.46.0023, P.101.48.0024P.101.50.0025, P.102.08.0032, P.102.14.0035, P.102.22.0039P.102.24.0040, P.102.26.0041, P.103.02.0057, P.103.04.0058P.103.38.0075, P.104.12.0091, P.104.58.0014, P.104.64.0117P.105.19.0189, P.116.04.2311P.512.-.0014, P.511.-.0015, P.512.-.0024, P.512.-.0025P.511.-.0032, P.512.-.0035, P.510.-.0035, P.511.-.0039P.518.-.0039, P.518.-.0040, P.511.-.0041, P.511.-.0075P.518.-.0091Voûte de la mairie de Chambly.P001,S10MONUMENT. – 1915, 1949 et 1980. – 3 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm ou plus petit. – 1 négatif n&b.Portée et contenu : Cette série comprend un cliché du dévoilement d’une plaque commémorative à l’occasion du centenaire de l’incorporation municipale de Chambly-Canton en 1949. On remarque la présence Charles Auguste Saint-Onge, secrétaire-trésorier de Chambly-Canton, Alfred guertin, Armand Auclaire, maire de Chambly-Canton, Ludger Côté, Léo Lareau, maire de Chambly-Bassin et Arthur Denault, maire de la paroisse de Chambly. La série est également constituée d’une image montrant la bénédiction de la statue du Sacré-Coeur lors des célébrations entourant le 250e anniversaire de la fondation de Chambly en 1915, ainsi qu’une vue de cette même statue.P.101.56.0028.jpg : Le monument dit du Sacré-Cœur ou de tempérance, en face de l’église Saint-Joseph, se distingue par l’inscription sur son socle : Monument de tempérance inauguré par le comte de Forbin-Janson, évêque de Nancy, primat de Lorraine. Juin 1841. Un des grands orateurs sacrés de son temps, cet évêque français, se rendit célèbre en Europe et en Amérique par ses prédications contre l’alcoolisme. Il prêcha une mission, à Chambly, les 16, 17 et 18 juin 1841 et fit de nombreux convertis. C’est à compter de cette époque que l’on vit, dans nos maisons, ces grandes croix noires qui témoignaient du vœu de tempérance des occupants. La statue originale a été remplacée par celle qu’on voit maintenant, lors des fêtes du 250e anniversiare de la fondation de Chambly en 1915 et qui fut bénite par Mgr Paul Bruchési, archevêque de Montréal. (même : N.002.80.0028)P.101.56.0028.JPG : Le monument dit du Sacré-Cœur ou de tempérance. P.104.67.0123.jpg : 250e anniversaire de la fondation. Cette foule se trouve en face de l’église Saint-Jospeh sur la berge devant le monument au Sacré-Cœur. Ces célébrations avaient rassmblé de grandes foules. (B. Laflamme) (carte postale)P.104.67.0123.JPG : Le monument au Sacré-Cœur. P.105.07.0153.jpg : Dévoilement d’une plaque commémorative à l’occasion du centenaire de l’incorporative municipale de Chambly-Canton en 1949. Charles-Auguste Saint-Onge, secrétaire-trésorier de Chambly-Canton, Alfred Guertin, conseiller municipal, Armand Auclaire, maire, Ludger Côté un ex-maire, Me Léoe Lareau, maire de Chambly-Bassin, Arthur Denault, maire de la paroisse de Chambly, 1949. (A. Auclaire)P.105.07.0153.JPG : Plaque commémorative. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.80.0028P.101.56.0028, P.105.07.0153, P.104.67.0123Voûte de la mairie de Chambly.P001,S11MUNICIPALITÉ. – ca 1870 et 1900?. – 3 photographies noir et blanc; 20cm x 25cm. – 3 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série consiste en des images des rues Bourgogne et chapelle / Saint-Jacques à Chambly-Canton. On remarque également la maison Howard.P.101.44.0022.jpg : La maison Howard. La rue Bourgogne à Chambly-Canton. À droite la maison Howard qui deviendra, en 1910, le presbytère de la nouvelle paroisse de Très-Saint-Cœur-de-Marie. À gauche, la clôture qui marquait la limite ouest du parc-jardin du manoir Willett. À remarquer que la rue Willett n’existait pas encore, ce qui laisse supposer que cette photo fut prise antérieurement à 1872, année où fut inauguré le chemin de fer, La rue Willett fut tracée peu après cette date afin d’assurer une communication plus courte entre les usines et la gare. L’auteur de cette photo a dû retoucher son négatif, car la rue était de terre, avec ornières à l’avenant et le trottoir était en bois, vers 1870. (A. Auclaire) (même : N.002.36.0022, N.002.87.0022, P.511.0022)P.101.44.0022.JPG : La maison Howard. P.102.48.0052.jpg : La rue de la Chapelle, plus tard rue Saint-Jacques à Chambly-Canton. On voit, sur ce cliché, la chapelle de desserte qu’avait fait construire à ses frais, en 1898, le chanoine Charles-Médéric Lesage, curé de Chambly. Immédiatement à gauche, avec clocher partiellement visible, l’école du village, vers 1900. (même : N.002.106.0052)P.102.48.0052.JPG : La rue de la Chapelle, plus tard rue Saint-Jacques à Chambly-Canton. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.36.0022, N.002.87.0022, N.002.106.0052P.101.44.0022, P.102.48.0052P.511.-.0022Voûte de la mairie de Chambly.P001,S12PERSONNALITÉS. – 1909?-1950?. – 27 photographies noir et blanc; 40cm x 50cm, 20cm x 25cm ou plus petit. – 22 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série rassemble des clichés de personnalités ayant un rapport quelconque avec la ville de Chambly. On voit Joseph-Octave Dion, premier conservateur du fort de Chambly, Joseph Léveillé, Mgr Paul Bruchési, archevêque de Montréal, Charles J. Prescott, fondateur et premier président de Bennett Limited, Stanley et Bessie Harmer, M.G. Lalanne, conservateur du fort de Chambly, Louis Lareau, maire de Chambly-Bassin et Armand Auclaire, maire de Chambly-Canton. On remarque également des tableaux sur lesquels on voit des portraits de Charles-Michel d’Irrumberry de Salaberry, d’Emma Lajeunesse / Albani, du prince Édouard, duc de Kent et d’Alphonsine-Julie-Thérèse-Bernadine de Montgenet (Madame de Saint-Laurent).N.002.98.0079.jpg : Joseph-Octave Dion (1838-1916), premier conservateur du fort de Chambly en 1881, sur le seuil de la porte de la modeste maison qu’il occupait à l’intérieur du fort. (A. Auclaire) (même : P.103.46.0079 (pas trouvé), N.003.01.0079)N.002.98.0079.JPG : Joseph-Octave Dion. N.003.07.0082.jpg : Joseph-Octave Dion tenant dans ses mains un des premiers numéros du journal Le Devoir dont il était le propagandiste à Chambly, 1910. (négatif de verre) (même : N.001.41.0082, P.103.52.0082, P.511.0082)N.003.07.0082.JPG : Joseph-Octave Dion. N.003.08.0083.jpg : Joseph-Octave Dion, journaliste et historien, avait été décoré par le ministère de l’Instruction publique de la République Française pour l’ensemble de ses travaux littéraire. Il arbore ici, à gauche, le macaron des Fêtes du 250e anniversaire de Chambly et, à droite, sa médaille que lui avait valu son œuvre et que ses concitoyens, fiers de cette distinction accordée à un homme qu’on vénérait, désignaient orgueilleusement : médaille de l’Académie-Française. (négatif de verre) (même : N.001.40.0083, P.103.54.0083)N.003.08.0083.JPG : Joseph-Octave Dion, journaliste et historien. N.003.09.0084.jpg : Joseph-Octave Dion, répétant devant son jeune voisin, Joseph Léveillé, l’allocution qu’il prononcera au cours des cérémonies qui marqueront le 250e anniversaire de la Fondation de Chambly en 1915. (négatif de verre) (même : N.001.40.0084, P.103.56.0084)N.003.09.0084.JPG : Joseph-Octave Dion. N.003.10.0085.jpg : Joseph-Octave Dion en compagnie de Joseph Léveillé qui, au cours de la dernière année de sa vie de celui qui avait sauvé le fort de la destruction, allait coucher dans une chambre voisine de la sienne et veillait sur lui. (négatif de verre) (même : N.002.91.0085, P.103.58.0085, P.517.0085, P.513.0085)N.003.10.0085.JPG : Joseph-Octave Dion en compagnie de Joseph Léveillé. P.103.30.0071.jpg : Mgr Paul Bruchési, archevêque de Montréal, prononçant son allocution à l’occasion de la bénédiction du monument au Sacré-Cœur, en face de l’église Saint-Joseph, lors de la célébration du 250e anniversaire de la fondation de Chambly, 1915. (même : N.002.96.0071, P.516.0071)P.103.30.0071.JPG : Mgr Paul Bruchési, archevêque de Montréal. P.103.40.0076.jpg : Charles-Michel d’Irumberry de Salaberry, le héros de Châteauguay. Vécut à Chambly de 1813 jusqu’à sa mort en 1829. Ses restes reposent dans le cimetière Saint-Jospeh de Chambly. (même : N.002.97.0076, P.511.0076)P.103.40.0076.JPG : Charles-Michel d’Irumberry de Salaberry, le héros de Châteauguay. P.103.42.0077.jpg : Emma Lajeunesse, née à Chambly le 1er novembre 1847, décédée à Londres en 1930. La plus grande cantatrice internationale qu’ait produit le Canada. Fit sa carrière sous le nom d’Albani. (Copie photographique d’un portrait à l’huile peint vers 1870. (A. Auclaire) (même : N.002.97.0077, P.516.0077)P.103.42.0077.JPG : Emma Lajeunesse. P.103.48.0080.jpg : Photo de J.-O. Dion, 11 juillet 1909, en face de l’église Saint-Joseph de Chambly, lors du dévoilement du monument du curé Pierre-Marie Mignault. Le personnage vu de dos est Johnny Brouillet, neveu du donateur du monument. (même : N.002.98.0080)P.103.48.0080.JPG : Photo de J.-O. Dion. P.103.50.0081.jpg : Joseph-Octave Dion au fort de Chambly, août 1910. (même : N.002.98.0081)P.103.50.0081.JPG : Joseph-Octave Dion au fort de Chambly, août 1910. P.104.02.0086.jpg : Joseph-Octave Dion et son chien sur le perron de sa demeure à l’intérieur du fort du Chambly dont il fut le premier conservateur. (A. Auclaire) (même : N.001.41.0086, P.104.02.0086)P.104.02.0086.JPG : Joseph-Octave Dion et son chien. P.104.04.0087.jpg : Le prince Edouard, duc de Kent (1768-1820), quatrième des cinq fils de Georges III, roi d’Angleterre. En 1791, il est affecté, avec son régiment, à Québec. L’année suivante, il est promu commandant-en-second des forces armées britanniques en Amérique du Nord. Il se lie d’amitié avec Louis de Salaberry et se fait le protecteur des quatre fils de celui-ci qui embrasseront la carrière militaire. Il fut le père de la reine Victoria. (même : N.002.90.0087)P.104.04.0087.JPG : Le prince Edouard, duc de Kent. P.104.06.0088.jpg : Alphonsine-Julie-Thérèse-Bernadine de Montgenet (Madame de Saint-Laurent) compagne, durant 27 ans du duc de Kent. Arriva avec lui à Québec en 1791. Elle était très liée avec l,épouse de Louis de Salaberry, père de Charles-Michel. (même : N.002.90.0088)P.104.06.0088.JPG : Alphonsine-Julie-Thérèse-Bernadine de Montgenet (Madame de Saint-Laurent). P.104.24.0097.jpg : Bessie et Stanley Harmer photographiés à l’arrière de la centrale hydroélectrique de Richelieu en 1912. Harmer était, à l’époque, surintendant de celle-ci. À l’arrière-plan à droite, on distingue un des piliers du pont bralant et, plus loin, une des usines Willett. Mme Harmer, centenaire en 1981, était encore en pleine possession de ses facultés intellectuelles et physiques. (même : N.002.97.0097, N.003.08.0097, P.516.0097)P.104.24.0097.JPG : Bessie et Stanley Harmer. P.104.30.0100.jpg : Charles J. Prescott (1873-1952), fondateur et premier président de Bennett Limited. Le 2 novembre 1912, cette compagnie acquit de S.T. Willett, les actifs et propriétés de Chambly Cotton Mills Ltd. En 1980, Bennett Limited changea le nom de sa raison sociale en celui de Bennett Incorporée. (A. Auclaire)P.104.30.0100.JPG : Charles J. Prescott (1873-1952). P.105.02.0135.jpg : G. Lalanne, conservateur du fort en 1949. (A. Auclaire)P.105.02.0135.JPG : G. Lalanne, conservateur du fort en 1949.. P.116.20.2373.jpg : Louis Lareau, maire. (même : N.001.14.2373)P.116.20.2373.JPG : Louis Lareau, maire. P.116.21.2373b.jpg : Louis Lareau, maire. (même : N.001.14.2373b)P.116.21.2373B.JPG : Louis Lareau, maire. P.116.21.2374.jpg : Armand Auclaire.P.116.21.2374.JPG : Armand Auclaire. P.119.19.1020.jpg : Bennett Limited. Charles J. Prescott, fondateur et président du conseil d’administration de la Bennett Limited, photographié à son bureau que les employés lui ont offert en guise d’appréciation lors de son 70e anniversaire de naissance.P.119.19.1020.JPG : Charles J. Prescott. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.96.0071, N.002.97.0076, N.002.97.0077, N.002.98.0079N.003.01.0079, N.002.98.0080, N.002.98.0081, N.001.41.0082N.001.40.0083, N.003.07.0082, N.003.08.0083, N.001.40.0084N.003.09.0084, N.002.91.0085, N.003.10.0085, N.001.41.0086N.002.90.0087, N.002.90.0088, N.002.97.0097, N.003.08.0097N.001.14.2373, N.001.14.2373bP.103.30.0071, P.103.40.0076, P.103.42.0077, P.103.42.0079P.103.48.0080, P.103.50.0081, P.103.52.0082, P.103.54.0083P.103.56.0084, P.103.58.0085, P.104.02.0086, P.104.04.0087P.104.06.0088, P.104.24.0097, P.104.30.0100, P.105.02.0135P.119.19.1020, P.116.20.2373, P.116.21.2373b, P.116.21.2374P.516.-.0071, P.511.-.0076, P.516.-.0077, P.511.-.0082P.517.-.0085, P.513.-.0085, P.516.-.0097Voûte de la mairie de Chambly.P001,S13PONT. – 1880?-1920?. – 10 photographies noir et blanc; 28cm x 36cm, 20cm x 25cm. – 10 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série est composée d’images de pont reliant Chambly à Richelieu. On remarque le premier pont reliant les deux municipalités, le pont de la Central Vermont Railway, une passerelle sur câbles d’acier et un pont pour les voitures.P.101.36.0018.jpg : Le premier pont à relier Chambly à Richelieu. Il avait été érigé par John Yule, seigneur de la partie est de Chambly vers 1846. C’était un pont couvert, tout en bois et à péage. Il fut détruit en 1891 lorsque la scierie qu’exploitait Yule tout près de son entrée à Richelieu, fut incendiée. À gauche, la maison du péager, vers 1880. (même : N.002.36.0018, N.003.14.0018, P.511.0018, P.513.0018)P.101.36.0018.JPG : Le premier pont à relier Chambly à Richelieu. P.101.38.0019.jpg : Le pont de bois du Central Vermont Railway entre Chambly et Richelieu emporté par la débâcle de 1905. On remarquera que les piliers étaient moins élevés qu’ils ne le sont présentement, vers 1900. (même : N.002.83.0019, N.003.13.0019, P.511.0019, P.517.0019)P.101.38.0019.JPG : Le pont de bois du Central Vermont Railway entre Chambly et Richelieu. P.101.40.0020.jpg : Le pont des voitures entre Chambly et Richelieu qui remplacera celui emporté par la débâcle de 1904. (même : N.002.88.0020, N.003.13.0020, P.511.0020)P.101.40.0020.JPG : Le pont des voitures entre Chambly et Richelieu. P.104.46.0108.jpg : Le pont-branlant – Passerelle sur câbles d’acier suspendue au-dessus des piliers supportant la ligne de transmission de la centrale hydroélectrique de Richelieu vers Montréal. Cette passerelle servait de raccourci aux employés de la centrale résidant à Chambly aussi bien qu’un moyen d’accès aux pylônes et aux fils, vers 1915. (même : N.002.77.0108, N.003.08.0108)P.104.46.0108.JPG : Le pont-branlant. P.104.52.0111.jpg : L’avant-dernier pont reliant Chambly à Richelieu, vers 1920. (même : N.002.76.0111, N.003.12.0111)P.104.52.0111.JPG : L’avant-dernier pont reliant Chambly à Richelieu, vers 1920. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.36.0018, N.003.14.0018, N.002.83.0019, N.003.13.0019N.002.88.0020, N.003.13.0020, N.002.77.0108, N.003.08.0108N.002.76.0111, N.003.12.0111P.0101.36.0018, P.101.38.0019, P.101.40.0020, P.104.46.0108P.104.52.0111P.511.-.0018, P.513.-.0018, P.511.-.0019, P.517.-.0019P.511.-.0020Voûte de la mairie de Chambly.P001,S14RICHELIEU. – 1905?. – 2 cartes postales.Portée et contenu : Cette série comprend une vue de la 1ère rue dans laquelle on voit un magasin, un hôtel, le bureau de poste et des résidences, ainsi qu’un cliché de l’intérieur de l’église.P.104.67.0124.jpg : Magasins, Hôtel, Bureau de Poste, village Richelieu. (carte postale) P.104.67.0124.JPG : Magasins, Hôtel, Bureau de Poste, village Richelieu. P.104.67.0125.jpg : Intérieur de l’église du village Richelieu, P.Q. (carte postale)P.104.67.0125.JPG : Intérieur de l’église du village Richelieu, P.Q. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : P.104.67.0124, P.104.67.0125Voûte de la mairie de Chambly.P001,S15RIVIÈRE RICHELIEU. – ca 1870-1980?. – 23 photographies noir et blanc; 28cm x 36cm, 20cm x 25cm ou plus petit. – 22 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série rassemble des documents photographiques qui sont en relation avec la rivière Richelieu. Elle est formée de six dossiers, soit : barrages et centrale hydroélectrique, débâcles et embâcles, inondation, port de Chambly, gravure de Bourne et bassin de Chambly.Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.P001,S15,D1BARRAGES ET CENTRALE HYDROÉLECTRIQUE. – 1949?-1980?. – 8 photographies noir et blanc; 13cm x 18cm, 20cm x 25cm. – 7 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier est formé d’images montrant le barrage de la centrale hydroélectrique de la Montreal Light, Heat and Power, les vestiges de ce dernier, les ruines de la centrale hydroélectrique de Notre-Dame-de-Bonsecours, ainsi que le barrage actuel construit en 1965.P.103.10.0061.jpg : Pouvoir hydro-électrique Chambly-Richelieu. À droite, vestiges du premier barrage de béton armé, emporté par la débâcle du Vendredi-Saint 1904, alors que le pont du chemin de fer et celui des voitures reliant Chambly à Richelieu furent également emportés. Les trois tuyaux de 60 pouces au bas de la photo, alimentaient le canal de dérivation qui amenait l’eau nécessaire au fonctionnement des usines situées à peu de distance en aval. Le débit de l’eau, dans les tuyaux, était contrôlé par des vannes, non visibles sur le cliché. À gauche, le deuxième barrage terminé vers 1905-06. Celui-ci était construit d’énormes pièces de bois en forme de caisson à clairevoie rempli de pierres de grosseurs différentes. Le barrage, appuyé à la berge du côté de Chambly, s’étendait sur une distance de 500 pieds vers celle de Richelieu puis, faisait angle droit vers l’aval sur une distance de 1200 pieds pour aller s’appuyer sur l’évacuateur et la centrale. Ces ouvrages furent démolis en 1965 et remplacés par un barrage fonctionnel en ligne légèrement incurvée d’une rive à l’autre et dont la fonction était de retenir les eaux à un niveau suffisamment élevé pour permettre le pompage de l’eau de l’aqueduc de Chambly, situé, alors, sur la berge, en face de l’usine de Bennett Limited qui en assumait le fonctionnement. Lorsque Chambly, Richelieu et Marieville s’unirent pour la construction et l’exploitation en commun d’une usine de pompage et de traitement de l’eau de leurs aqueducs respectifs, à environ 1,5 km en amont de l’ancienne prise d’eau, ce barrage ne devient plus guère qu’un embellissement au paysage, 1952. (même : N.003.11.0061, P.511.0061)P.103.10.0061.JPG : Pouvoir hydro-électrique Chambly-Richelieu. P.103.20.0066.jpg : Jusqu’à 1965, ce coin pittoresque de Chambly-Richelieu offrait une vue qui ne pouvait échapper à l’œil de l’artiste et du photographe! (même : N.003.18.0066)P.103.20.0066.JPG : . P.103.22.0067.jpg : Vestiges de la centrale de Richelieu, démolie en 1965, 1980. (même : N.002.73.0067, N.003.11.0067)P.103.22.0067.JPG : Vestiges de la centrale de Richelieu. P.103.24.0068.jpg : Barrage actuel (1980) érigé en 1965 entre Chambly et Richelieu après la démolition de la centrale de Richelieu et du barrage précédent. (même : N.002.73.0068, N.003.18.0068)P.103.24.0068.JPG : Barrage actuel. P.103.26.0069.jpg : Centrale et barrage de Sainte-Thérèse, vestiges de ces ouvrages. Vers 1905, la Royal Electric Co. fait construire entre le rang Sainte-Thérèse de Chambly (aujourd’hui Carignan) et Notre-Dame-de-Bonsecours de Richelieu, à environ 300 mètres en amont du pont de l’autoroute des Cantons-de-l’est, un barrage et une centrale hydro-électrique. La construction des fondations va bon train. Le barrge, lui, vient tout juste d’être terminé lorsque, trois jours plus tard il est emporté par le courant. La construction est laiséée en plan et toute une kyrielle de poursuites judiciaires contre l’ingénieur en chef et l’entrepreneur s’ensuivent. Les travaux sont définitivement suspendus et le projet est abandonné. Les turbines, autres pièces d’équipement et l’acier qui devait servir à la structure de la centrale qui ont été livrés sur place, sont remisés dans un champ voisin, exposés aux éléments ; ils le demeureront jusqu’au cours de la guerre de 1939-45 alors qu’ils seront récupérés et serviront à la fabrication d’armements, 1980. (même : N.002.73.0069, P.512.0069)P.103.26.0069.JPG : Centrale et barrage de Sainte-Thérèse. P.105.12.0173.jpg : 2e Digue de la centrale. Monsieur Armand Auclaire, maire de Chambly-Canton regarde la digue reconstruite après la débâcle de 1905. On y distingue nettement les deux échelons (voir Cahier 13). Les décris au pied de la digue et sur la rive proviennent du premier barrage qui avait été emporté par la glace de Vendredi-Saint en même temps que les deux ponts. (B. Laflamme)P.105.12.0173.JPG : 2e Digue de la centrale. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.003.11.0061, N.003.18.0066, N.002.73.0067, N.003.11.0067N.002.73.0068, N.003.18.0068, N.002.73.0069P.103.10.0061, P.103.20.0066, P.103.22.0067, P.103.24.0068P.103.26.0069, P.105.12.0173P.511.-.0061, P.512.-.0069Voûte de la mairie de Chambly.P001,S15,D2DÉBÂCLES ET EMBÂCLES. – 1905 et 1918. – 5 photographies noir et blanc; 13cm x 18cm, 20cm x25cm. – 7 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier est formé de clichés montrant les débâcles de 1905 et 1918. On remarque notamment des embâcles au pont du chemin de fer en 1905, ainsi qu’au barrage de la centrale hydroélectrique en 1918.P.103.08.0060.jpg : Les glaçons accumulés sur le barrage lors de la débâcles de 1918, la plus dévastatrice depuis celle de 1904. (même : N.002.102.0060, N.003.18.0060, P.512.0060)P.103.08.0060.JPG : Les glaçons accumulés sur le barrage lors de la débâcles de 1918. P.104.34.0102.jpg : Débâcle de 1918. Glaçons accumulés sur le barrage de Chambly. (même : N.002.74.0102, N.003.15.0102)P.104.34.0102.JPG : Débâcle de 1918. P.104.36.0103.jpg : Débâcle de 1918. Les glaçons débordèrent dans la rue Richelieu, fauchèrent les poteaux de la ligne électrique, envahirent les parterres des résidences riveraines, défonçant la façade de certaines de celle-ci. L’eau inonda le rez-de-chaussée de quelques maisons. (même : N.002.74.0103, N.003.07.0103)P.104.36.0103.JPG : Débâcle de 1918. P.104.62.0116.jpg : Embâcle qui s’était formé contre le pont du chemin de fer de Chambly et qui emporta dans la débâcle le pont des voitures et le barrage. Ceci se produisit le matin du Vendredi-Saint le 31 mars 1905. Dès que le train eût franchi le pont, celui-ci fut emporté. (même : N.002.58.0116)P.104.62.0116.JPG : Embâcle qui s’était formé contre le pont du chemin de fer de Chambly. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.102.0060, N.003.18.0060, N.002.74.0102, N.003.15.0102N.002.74.0103, N.003.07.0103, N.002.58.0116P.103.08.0060, P.104.34.0102, P.104.36.0103, P.104.62.0116P.512.-.0060Voûte de la mairie de Chambly.P001,S15,D3INONDATION. – 1976. – 4 photographies noir et blanc; 8cm x 13cm. – 4 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier est composé de prises de vue montrant le débordement de la rivière Richelieu en avril 1976.P.104.66.0118.jpg : Inondation fin mars début avril 1976 au parc des Rapides à Chambly. (A. Auclaire) (même : N.002.91.0118)P.104.66.0118.JPG : Inondation fin mars début avril 1976 au parc des Rapides à Chambly. P.104.66.0119.jpg : Inondation fin mars début avril 1976. Le poteau indique l’emplacement de la rue conduisant au fort de Chambly. (A. Auclaire) (même : N.002.91.0119)P.104.66.0119.JPG : Inondation fin mars début avril 1976. P.104.66.0120.jpg : Inondation fin mars début avril 1976. La courtine est et ses deux bastions. La clôture marque la limite habituelle du bassin. (A. Auclaire) (même : N.002.91.0120)P.104.66.0120.JPG : Inondation fin mars début avril 1976. P.104.66.0121.jpg : Inondation fin mars début avril 1976. Photo prise depuis le fort en direction du bassin. (A. Auclaire) (même : N.002.91.0121)P.104.66.0121.JPG : Inondation fin mars début avril 1976. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.91.0118, N.002.91.0119, N.002.91.0120, N.002.91.0121P.104.66.0118, P.104.66.0119, P.104.66.0120, P.104.66.0121Voûte de la mairie de Chambly.P001,S15,D4PORT DE CHAMBLY. – ca 1870. – 3 photographies noir et blanc; 28cm x 36cm, 20cm x 25cm. – 2 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier est formé d’une vue sur le port.P.101.34.0017.jpg : Le port de Chambly vers 1870. Il était situé à deux ou trois cents pieds à l’ouest de l’écluse numéro 1 du canal de Chambly. (même : N.002.39.0017, N.002.88.0017, P.511.0017, P.513.0017)P.101.34.0017.JPG : Le port de Chambly vers 1870. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.39.0017, N.002.88.0017P.101.34.0017P.511.-.0017, P.513.-.0017Voûte de la mairie de Chambly.P001,S15,D5GRAVURE DE BOURNE. – 198-?. – 2 photographies noir et blanc; 28cm x 36cm, 20cm x 25cm. – 2 négatifs n&b.Portée et contenu : Ce dossier contient une reproduction photographique d’une gravure de Bourne vers 1835.P.101.04.0002.jpg : Reproduction photographique de ce qu’on croit être la plus ancienne gravure de Chambly illustrant un paysage du tout début du dix-neuvième siècle. À l’arrière-plan, les Burton Mills, ancêtres des usines Willett. Lors de l’occupation de Montréal par les armées américaines en 1775, Benjamin Franklin y avait fondé un journal de propagande dans le but de rallier les Canadiens à la cause des treize colonies. Pour imprimer son journal, il fit venir une presse de Boston mais il perdit celle-ci lorsque le radeau qui la transportait chavira dans les rapides de Chambly. Ces radeaux assuraient le transport des marchandises entre Saint-Jean et le bassin de Chambly. (même : N.002.97.0002, N.003.15.0002, P.510.0002)P.101.04.0002.JPG : La plus ancienne gravure de Chambly . Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : N.002.97.0002, N.003.15.0002P.101.04.0002P.510.-.0002Voûte de la mairie de Chambly.P001,S15,D6BASSIN DE CHAMBLY. – 1900?. – 1 photographie noir et blanc; 10cm x 15cm.Portée et contenu : Ce dossier est constitué d’un cliché du bassin.P.104.67.0122.jpg : Plan d’eau, une chaloupe, deux ormes au premier plan, rive au second plan avec quelques maisons visibles dans les arbres. (B. Laflamme) (carte postale)P.104.67.0122.JPG : Plan d’eau. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu du dossier.Localisation : P.104.67.0122Voûte de la mairie de Chambly.P001,S16SAINT-MATHIAS-SUR-RICHELIEU. – 1950?. – 1 photographie n&b.Portée et contenu : Cette série contient une prise de vue extérieure de l’église de Saint-Mathias-sur-Richelieu.P.103.32.0072.jpg : L’église de Saint-Mathias au clair de lune, 1950.P.103.32.0072.JPG : L’église de Saint-Mathias au clair de lune, 1950. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : P.103.32.0072Voûte de la mairie de Chambly.P001,S17SPORT. – 1931? et 1950?. – 2 photographies noir et blanc; 28cm x 36cm, 20cm x 25cm. – 2 négatifs n&b.Portée et contenu : Cette série comprend des clichés d’équipes de baseball.N.001.27.2372.jpg : Équipe de baseball. (même : P.306.06.2372 (pas trouvé))N.001.27.2372.JPG : Équipe de baseball. P.111.26.2069.jpg : Photo joueurs de baseball de Chambly. (même : N.001.03.2069)P.111.26.2069.JPG : Photo joueurs de baseball de Chambly. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.001.03.2069, N.001.27.2372P.111.26.2069, P.306.06.2372Voûte de la mairie de Chambly.P001,S18TEMPÊTE. – 1971. – 3 photographies noir et blanc; 10cm x 12cm.Portée et contenu : Cette série contient des images montrant l’accumulation de neige suite à la tempête de mars 1971.P.104.68.0126.jpg : Tempête de neige du siècle (1971). Les grandes routes et les rues de la ville furent entièrement bloquées. Les transports aériens, par chemin de fer et par routes furent interrompus. Les villes et villages étaient isolés, les citoyens étaient emprissonés dans leurs demeures. Le ravitaillement et les urgences furent assurés tant bien que mal par autos-neige. Ces photos furent prises à l’intersection des rues Langevin et Charles-Boyer. (B. Laflamme)P.104.68.0126.JPG : Tempête de neige du siècle (1971). P.104.68.0127.jpg : Tempête de neige du siècle (1971). Les grandes routes et les rues de la ville furent entièrement bloquées. Les transports aériens, par chemin de fer et par routes furent interrompus. Les villes et villages étaient isolés, les citoyens étaient emprissonés dans leurs demeures. Le ravitaillement et les urgences furent assurés tant bien que mal par autos-neige. Ces photos furent prises à l’intersection des rues Langevin et Charles-Boyer. (B. Laflamme)P.104.68.0127.JPG : Tempête de neige du siècle (1971). P.104.68.0128.jpg : Tempête de neige du siècle (1971). Les grandes routes et les rues de la ville furent entièrement bloquées. Les transports aériens, par chemin de fer et par routes furent interrompus. Les villes et villages étaient isolés, les citoyens étaient emprissonés dans leurs demeures. Le ravitaillement et les urgences furent assurés tant bien que mal par autos-neige. Ces photos furent prises à l’intersection des rues Langevin et Charles-Boyer. (B. Laflamme)P.104.68.0128.JPG : Tempête de neige du siècle (1971). Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : P.104.68.0126, P.104.68.0127, P.104.68.0128Voûte de la mairie de Chambly.P001,S19TRANSPORT. – ca 1870-ca 1950. – 13 photographies noir et blanc; 40cm x 50cm, 20cm x 25cm. – 11 négatifs n&b, sur pellicule et sur verre.Portée et contenu : Cette série est formée de clichés relatifs aux moyens de transport. On voit une diligence, une voiture, un canot à vapeur, une bicyclette et les gares de Chambly-Canton et Chambly-Bassin.N.003.01.0099.jpg : La randonnée à bicyclette du dimanche après-midi avec, bien entendu, l’innévitable chaperon! 1900. (négatif de verre) (même : P.104.28.0099)N.003.01.0099.JPG : Randonnée à bicyclette. N.003.05.0070.jpg : En route pour la visite dominicale à la parenté, 1905. (négatif de verre) (même : N.002.36.0070, P.103.28.0070)N.003.05.0070.JPG : Visite dominicale. N.003.06.0073.jpg : Le canot à vapeur qui offrait des randonnées sur le bassin aux visiteurs de fins de semaine, 1895. (négatif de verre) (même : N.002.30.0073, N.003.11.0073, P.103.34.0073, P.510.0073, P.511.0073)N.003.06.0073.JPG : Le canot à vapeur. P.101.42.0021.jpg : Les communications entre Chambly et Montréal étaient assurées par bateau trois fois la semaine, durant la saison de la navigation et, deux fois la semaine, en tout saison, par la diligence. En 1857, il en coûtait 50 cents pour le privilège de se rnedre à Montréal en diligence en moins d’une journée. L’inauguartion de la ligne de chemin de fer, en 1872, marqua la fin de ce service. (même : N.002.84.0021, N.003.13.0021, P.511.0021, P.517.0021)P.101.42.0021.JPG : Diligence. P.101.52.0026.jpg : La vieille gare de Chambly-Canton, érigée en même temps que les autres le long de la ligne de chamin de fer qui fut inaugurée au cours de la décennie 1870, vers 1950. (même : N.002.106.0026, P.511.0026)P.101.52.0026.JPG : La vieille gare de Chambly-Canton. P.104.40.0105.jpg : La gare de Chambly-Canton d’après une illustration du Monde Illustré de 1896. Construite en même temps que la voie du chemin de fer Montréal, Sorel and Chambly Railroad, en 1874, elle abritait la billeterie, le télégraphe, une salle d’attente pour la clientèle voyageuse, un entrepôt pour les messageries et un logement pour le chef-de-gare et sa famille. Elle était située au bout de la rue de l’Église, à une centaine de mètres au sud du canal de Chambly. Le chemin, à l’avant-plan, conduisait au Pine Grove Park, un terrain de pique-nique fort populaire et fréquenté par la population locale et par de nombreux groupes et associations de Montréal qui y venaient, en fin de semaines, par trains nolisés. Ce terrain de pique-nique disparut pour faire place au boulevard de Périgny et à la voie de chemin de fer qu’on déplaça au sud de celui-ci. (même : N.002.102.0150)P.104.40.0105.JPG : La gare de Chambly-Canton. P.104.44.0107.jpg : La gare de Chambly-Bassin, vers 1920. (même : N.001.31.0107, P.518.0107)P.104.44.0107.JPG : La gare de Chambly-Bassin, vers 1920. Source du titre composé propre : Titre basé sur le contenu de la série.Localisation : N.002.84.0021, N.003.13.0021, N.002.106.0026, N.002.36.0070N.003.05.0070, N.002.30.0073, N.003.11.0073, N.003.06.0073N.003.01.0099, N.002.102.0105, N.001.31.0107P.101.42.0021, P.101.52.0026, P.103.28.0070, P.103.34.0073P.104.28.0099, P.104.40.0105, P.104.44.0107P.511.-.0021, P.517.-.0021, P.511.-.00269, P.510.-.0073P.511.-.0073, P.518.-.0107Voûte de la mairie de Chambly.